Post by Andrei Tchentchik on Jan 23, 2020 17:14:55 GMT 2
(#A.025).- Planète Terre, la crise invisible de la qualité de l’eau.
Planète Terre, la crise invisible de la qualité de l’eau.
Mardi, 27 Août 2019.
Une étude de la Banque mondiale démontre que les bactéries, les eaux usées et les produits chimiques et plastiques réussissent à extirper l’oxygène de l’eau et à la transformer en poison pour les êtres humains et les écosystèmes.
Cela réduit d’un tiers la croissance économique potentielle des zones fortement polluées et menace le bien-être humain et environnemental. C’est l’invisible crise de l’eau.
Les pays riches et les pays pauvres risquent de faire face à des problèmes liés à la qualité de l’eau.
L’éventail de polluants tend à augmenter avec la prospérité d’un pays.
Situation actuelle :
8,3 milliards de tonnes de plastique créées depuis les années 1950.
90% n’ont pas été recyclées.
Présence de micro-plastique dans 80% des sources mondiales d’eau douce et dans 93% de l’eau embouteillée.
Les conséquences :
Salinité élevée de l’eau.
Mauvais rendement agricole
Perte d’argent pour nourrir 170 millions de personnes (population de Bangladesh).
Vieillissement des tuyauteries.
Métaux lourds dans l’eau (plomb, aluminium, cuivre, etc.)
Exposition au plomb chez les enfants.
Effets sur le développement neurologique et baisse de QI.
SOLUTIONS
La Banque mondiale propose un projet global pour éviter le pire.
PASSIF > Information : Publier les données partout et établir des systèmes de surveillance des sources d’eau.
PROACTIF > Prévention : Instaurer des lois et établir une juridiction claire pour inciter à la réduction de la pollution de l’eau.
RÉACTIF > Investissements : Offrir un financement public pour le traitement des eaux et s’assurer qu’elles sont traitées à 100%.
F I N .
Planète Terre, la crise invisible de la qualité de l’eau.
Mardi, 27 Août 2019.
Une étude de la Banque mondiale démontre que les bactéries, les eaux usées et les produits chimiques et plastiques réussissent à extirper l’oxygène de l’eau et à la transformer en poison pour les êtres humains et les écosystèmes.
Cela réduit d’un tiers la croissance économique potentielle des zones fortement polluées et menace le bien-être humain et environnemental. C’est l’invisible crise de l’eau.
Les pays riches et les pays pauvres risquent de faire face à des problèmes liés à la qualité de l’eau.
L’éventail de polluants tend à augmenter avec la prospérité d’un pays.
Situation actuelle :
8,3 milliards de tonnes de plastique créées depuis les années 1950.
90% n’ont pas été recyclées.
Présence de micro-plastique dans 80% des sources mondiales d’eau douce et dans 93% de l’eau embouteillée.
Les conséquences :
Salinité élevée de l’eau.
Mauvais rendement agricole
Perte d’argent pour nourrir 170 millions de personnes (population de Bangladesh).
Vieillissement des tuyauteries.
Métaux lourds dans l’eau (plomb, aluminium, cuivre, etc.)
Exposition au plomb chez les enfants.
Effets sur le développement neurologique et baisse de QI.
SOLUTIONS
La Banque mondiale propose un projet global pour éviter le pire.
PASSIF > Information : Publier les données partout et établir des systèmes de surveillance des sources d’eau.
PROACTIF > Prévention : Instaurer des lois et établir une juridiction claire pour inciter à la réduction de la pollution de l’eau.
RÉACTIF > Investissements : Offrir un financement public pour le traitement des eaux et s’assurer qu’elles sont traitées à 100%.
F I N .
