Post by Andrei Tchentchik on Mar 23, 2020 18:52:28 GMT 2
(#394).- L’enlèvement de Fortunato Zanfretta à Torreglia Italie (1978).
L’enlèvement de Fortunato Zanfretta à Torreglia Italie (1978).
17 Février, 2019. Rédigé par les mystères des ovnis.
Tard dans la soirée du Mercredi 6 Décembre 1978 le vigile Fortunato était en service dans sa voiture dans la zone de Torreglia, un petit village dans les hauteurs de l’arrière pays Génois.
L’enlèvement de Fortunato Zanfretta à Torreglia Italie (1978)
Il faisait très froid et la neige qui était tombée durant la journée s’était transformée en une dangereuse plaque glacé qui recouvrait un bonne partie de la chaussée.
Zanfretta qui roulait doucement, cherchait tant que possible d’éviter les coins éclairés qui pouvait révéler sa présence. Pour le reste, cet homme est habitué au climat rude des montagnes et des zones qu’il avait appris à connaitre depuis ces deux dernières années.
Pourtant cette nuit-là ne fut pas comme les autres.
Il était 23 heures 30, quand Zanfretra prit la déviation, qui de la route 45, conduisait à Marzano, le vigile parcouru la petite route qui l’emmena au centre du village : et en continuant, se dirigea vers la villa ‘casa nostra’’ appartenant à un dentiste Genois : Ettore Righi.
La nuit était sombre et sans lune, mais le ciel étoilé rendait moins obscure l’aride paysage de l’appenin Ligure.
Après une centaine de mètres, le vigile laissa derrière lui la dernière habitation et ce retrouva en pleine campagne. Il était presque arrivé quand, avant le dernier virage, le moteur et les phares de la Fiat 126 s’éteignirent : ‘’ mais qu’est ce qui arrive ‘’ murmura t-il, surpris. C’est quand il mit pieds à terre qu’il vit dans le jardin de la villa 4 lumières qui bougeaient : alors, oubliant la panne qu’il venait juste d’avoir et qui l’avait immobilisé. Il prit le micro de sa radio pour communiquer à la centrale opérative de
‘’ l’Institut de Vigilance ‘’ , ce qu’il était prêt à faire, ‘’kangourou 68, kangourou 68’’, appela t-il, je vais à l’intérieur de la villa voir si il y a des voleurs’’.
Mais la centrale ne réponde pas. Même la radio était en panne.
Il empoigna son ‘’Smith & Wisson calibre 38 spécial et sa torche électrique éteinte dans sa main gauche, il s’approcha avec précaution de la villa : le portillon du jardin était ouvert, ainsi que la porte d’entrée. Zanfretta entra et se plaqua contre la mur périphérique et doucement il s’avança de l’angle, il voulait surprendre les voleurs, mais sa stupeur fut grande quand il se sentit toucher sur les épaules.
Rapidement, il se tourna avec la torche allumée et son révolver prêt à faire feu s’il en était nécessaire : cela n’aurai pas été la première fois, mais le faisceau électrique n’illumina pas un voleur… Interrogé le matin suivant par le brigadier des carabiniers Antonio Nucchi, commandant du poste de Torriglia : Zanfretta tremblant raconta avoir vu un être énorme, haut d’environ 3 mètres avec la peau ondulée comme si cela était de la graisse ou bien alors une combinaison : mais de toute façon de couleur grise.
Il avait des yeux triangulaires jaunes, sur sa tête apparaissait des veines rouges, et ses oreilles étaient de forme pointues, ses mains avaient des doigts dont les ongles étaient arrondies. Zanfretta terrorisé laissa tomber sa torche, il la ramassa et couru à toutes jambes vers sa voiture, et là il empoigna le micro.
‘’Le premier appel, dit Carlo Toccalino qui faisait son tour de garde à la centrale, je l’ai reçu vers minuit et quart, Zanfretta hurlait en didant continuellement ‘’maman, maman qu’est ce qu’il est affreux’’, je lui est alors demandé si il était en train de se faire agresser, il me répondit : ‘’non, ce ne sont pas des hommes, ce ne sont pas des hommes’’ et à ce moment la communication s’interrompa.’’
Pendant que Zanfretta hurlait à la radio, tout d’un coup une grande lueur triangulaire s’éleva de derrière la maison : il l’a décrivit plus tard comme étant un disque lumineux plus large que la villa : la lumière l’aveugla à tel point qu’il dû se cacher les yeux avec ses bras, puis dans un grand sifflement et une accélération fantastique l’appareil se perdit dans le ciel.
Sur le terrain où l’ovni se serait posé, les carabiniers ont découverts une grande trace semi circulaire qu’ils définirent comme une empreinte laissée par un hélicoptère ou bien par quelque chose d’important qui se serait posé dans le pré avoisinant la villa.
Zanfretta s’était évanoui. Quand ses collègues l’eurent trouvés après une heure de recherche, il était près de la villa, en état de choc.
Pendant qu’ils l’emmenaient, lui continuait à dire ‘’je les ais vu, je les ais vu’’ et vraisemblablement il n’était pas le seul.
Les carabiniers, durant leur enquête, trouvèrent 52 témoins qui confirmèrent qu’à cette heure-là et dans cette zone ils ont observés un gros objet volant de forme aplatis et triangulaire diffusant une intense lumière variant du blanc au rouge.
Vendredi 8 Décembre : le quotidien ‘’Il Secondo XIV’’ est paru un titre et six colonnes ‘’Rencontre Rapprochée à Torriglia’’ et c’est comme ça que le monde entier a pris connaissance du cas du vigile qui avait vu un ovni…
Rino Di Stefano, journaliste, en parle : ‘’À cette époque, j’étais chroniqueur au quotidien Génois du soir (Corriere Mercantile) ‘’ et je me souviens du climat de curiosité et d’amusement septique que la nouvelle avait provoquée : non seulement auprès du public mais aussi dans la rédaction des journaux, évidemment ce n’était pas facile de prendre au sérieux l’histoire de ‘’l’extraterrestre haut de 3 mètres’’.
Toutefois, si on aurait voulu archiver l’épisode, il aurait fallu trouver une explication logique à au moins trois questions : l’état de choc du vigile, l’énorme empreinte trouvée près de la villa et les 52 témoins.
Il me semblait logique avant de traiter de fou cet homme ou de le définir comme mythomane ou bien pire, qu’il faillait démonter les résultats de l’enquête faite par les carabiniers. Pourquoi ne pas enquêter sur Pier Fortunato Zanfretta et sur les faits survenues cette nuit-là ?
Avec surprise, je me suis aperçu que les autres collègues journalistes se gardaient bien de le faire, j’ai eu l’impression que la mentalité courante se résumait à ces phrases ‘’du moment qu’il dit avoir vu une soucoupe volante et un monstrueux extraterrestre, il doit être vraiment fou’’.
Pour ce qui était des carabiniers, certainement quelques uns devaient penser qu’ils perdaient leurs temps : c’est sûrement cette dernière conviction qui m’a donné envie de m’occuper du cas Zanfretta.
Aussi parce que tout le monde comptait sur l’aspect ufologique de la question, laissant de côté le drame humain que vivait cet homme. Je me demandai ‘’est-ce possible qu’un vigile connu comme étant une personne honnête et correcte, père de deux enfants, s’invente de toutes pièces une histoire de ce genre, risquant de perdre son emploi. Et les témoignages de ces 52 personnes qui validaient son récit, est-ce que son état de choc était une simulation ? ‘’. Je voulais en savoir plus.
Les responsables de l’Institut de vigilance ‘’Val Bisagno’’ se disent prêt à collaborer avec moi. Le directeur Gianfranco Tutti me raconta que son associé Luigi Cerda avait déjà prévu de porter plainte contre X pour l’histoire qui venait de se passer, ‘’nous voulons que toute la lumière soit faite sur cette histoire’’ : ils avaient peur de la publicité négative que cette affaire pouvait leur apporter.
La première chose que je leur demanda, c’était de parler avec Zanfretta : et cela ce fit. Le vigile, aux premiers abords, me paru timide et embarrassé.
Je m’aperçu que toute la rumeur faite autour de lui le gênait énormément : ‘’des personnes inconnues téléphonent à la maison pour se moquer de moi’’, se plaignit-il, ‘’je ne sais pas ce que c’était ce que j’ai vu mais je l’ai bien vu, je ne suis pas un menteur’’.
PHOTOS DES LIEUX :
LA SÉANCE D’HYPNOSE
Après avoir publié mon premier article sur Zanfretta, je fus contacté par divers ufologues : j’ai coupé court avec eux, mais j’ai accepté une suggestion : demander à Zanfretta de se soumettre à une hypnose.
L’hypnose, c’est vrai, est une méthode utilisé pour faire revivre des expériences passées en dissociant le côté conscient de l’individu, pourquoi ne pas essayer ?
Zanfretta consenti de suite : et le soir du 23 Décembre, il se trouva allongé, hypnosé sur le petit lit du docteur Mauro Moretti.
Le résultat de cette séance, enregistrée sur bande audio fut déconcertante.
À Un moment donné, Zanfretta commença à revivre les instants où il était entré dans le jardin de la villa…
Zanfretta : ‘’Qu’est-ce qu’il t a ? Qu’est-ce qui arrive ? Maman’’.
Moretti : ‘’Que ce passe-t-il ? Racontez moi, je suis avec vous. Il ne peut rien vous arrivez, dites-moi ce que vous voyez’’.
Zanfretta : ‘’Madonna, pourquoi je devrai venir avec vous ? Que voulez-vous me faire? Que sont toutes ces lumières, vous n’êtes pas des humains, allez vous-en … que me mettez-vous sur la tête ? allez vous-en … je ne veux pas … laissez moi tranquille ‘’.
Il était clair que le vigile parlait de détails qui lui étaient inconnus au stade conscient.
Il disait en gros, qu’il avait été enlevé et emmené dans un lieu où on l’a interrogé et fait subir des examens.
Zanfretta : ‘’ je ne veux pas que vous retourniez, je ne veux rien dire? Enlevez-moi cette chose de ma tête… j’attendrai que vous reveniez… quelle chaleur… enlevez-moi ce truc de la tête… allez vous-en… vous êtes des monstres… je veux retourné chez moi… ma torche’’.
Zanfretta donc, racontait qu’il avait été enlevé, même si ma curiosité avait été partiellement payée, je n’ai pas voulu écrire d’article sur cette séance d’hypnose : les révélations involontaire de ce vigile me semblait trop irréelles pour être prises en considération.
D’autres événement s
Puis dans la nuit du 27 au 28 Décembre : ‘’je suis entouré d’un brouillard épais et je ne vois rien’’, criait le vigile à la radio : il était 23 heures 46. Quatre minutes après, Zanfretta appela de nouveau, mais cette fois-ci sa voix était plus calme, presque obéissante, ‘’ma voiture s’arrête, dit-il, je vois une grande lumière : maintenant je sors’’.
Les recherches furent gênées par le brouillard et la pluie qui à ce moment-là tombait dans la région. La ‘’Fiat’’ dans laquelle voyageai Zanfretta fut retrouvée après une heure de recherche dans un renfoncement de la route de montagne qui mène à la villa des Rossi. Le premier à voir Zanfretta fut le brigadier Travenzoli : il tremblait et pleurait ‘’ils disent qu’ils veulent m’emmener, que vont devenir mes enfants, je ne veux pas, je ne veux pas’’.
Étrangement, malgré la pluie et le froid, le vigile avait le visage et les habits secs, le brigadier remarqua que tout ce qui était au dessus de son nez était très chaud, ces oreilles étaient rouge sang : étonnamment, le toit de sa voiture était brûlant comme s’il avait été exposé à une forte chaleur.
Près de l’auto, des empreintes gigantesques de semelles concaves, longues de plus de 50 cm. étaient présentes.
Tous ces éléments firent ensuite partie du rapport informatif de ‘’l’observation de l’ovni et des humanoïdes de la part de Zanfretta Fortunato’’, que le brigadier Nuchi envoya à la préfecture de Gênes le 3 Janvier 1979 pour que soit prise des décisions.
Le rapport a fini sur le bureau du substitut qui le passa pour compétence au juge instructeur Gian Rodolfo Sciaccaluga : ensuite, il parvint au juge Russo, seulement le 11 Janvier 1980.
Au bout d’une année, il le fit archiver avec le numéro 203 pour ‘’manque extrêmes de faits’’, du reste le même commandant des carabiniers avait déjà pris la précaution d’informer le ministre de l’intérieur et les hauts commandants militaires avec 2 télex, un le 18 Décembre et l’autre le 28 Décembre 1978. Dans les messages, le degré de fiabilité des événements décrits était défini ‘’bon’’.
Après la seconde rencontre rapprochée, quelqu’un commença à penser que malgré les interrogations qui émergé de ces évènements nocturnes (empreintes géantes, tôle de voiture chaude…) il serait bon de vérifier si Zanfretta était sain d’esprit? Et c’est pour cela que l’Institut de Vigilance l’envoya plusieurs fois chez le professeur Giomo Gianotti (spécialiste en neurologie, maladies nerveuses et mentales, vice principalde l’hôpital de Gênes, St. Martino).
Le 31 Janvier 1979, le professeur Gianotti a établi le certificat suivant : ‘’ à la demande de la direction de l’Institut de vigilance dont dépend le vigile : j’ai visité en date du 28 et 30 Décembe 1978, Monsieur Zanfretta Fortunato, âgé de 26 ans, de profession vigile assermenté, à une visite neuropsychiatrique comme dans les 2 examens précédents. J’ai trouvé M. Zanfretta en parfaite condition psychique et neurologique, le patient ne présente aucune altération psychosensorielle et sa capacité de vouloir et de critique est normale. Je retients que M. Zanfretta est apte à exercer son travail de manière inconditionnel, il n’a besoin d’aucune période d’observation ni même de conseils thérapeutiques’’.
L’opinion du professeur Gianotti a eu beaucoup d’effet auprès du public et des forces de l’ordre.
Le cas sortit des limites Génoise : Enzo Tortora présentateur célèbre du programme télévisé ‘’ porto bello ‘’ (programme de forte audience) invita par deux fois Zanfretta sur l’antenne de la RAI 3 : en mettant dans l’embarras (à cause de lui) Cesare Musatti, père de la psychanalyse italienne.
Musatti, aprè avoir assister à une séance d’hypnose en direct devant les caméras, dit que pour lui Zanfretta était quelqu’un de bonne foi : même s’il était difficile de distinguer la réalité objective de celle subjective.
En même temps, la presse étrangère s’intéressa au vigile. Le populaire journal des États-Unis ‘’National Enquire’’ (tiré à 5 millions d’exemplaires) lui dédia 3 articles en première page : et c’est dans ce climat que le soir du 30 Juillet 1979, le vigile fut victime d’une troisième abduction, cette fois-ci, il était sur son scooter dans la zone du Quarto (Gênes) car sur les montagnes, vue les précédents événements, on ne l’envoya plus.
De toute façon, cela ne l’a pas empêché de disparaître à nouveau : et ils le retrouvèrent après deux heures de recherche au sommet du Mont ‘’Fasce’’ situé aux ‘’épaules’’ de Gênes.
On se demande comment il a pu arrivé là haut, alors que l’unique voie d’accès était patrouillé, et que par ce chemin Zanfretta n’était pas passé, la réponse fut cherchée dans l’hypnose.
Cette fois-ci, la séance s’était déroulée auprès de Centre National d’Hypnose Médicale et Psychologique de Milan où le professeur Marco Marchesan, à la demande de Zanfretta, le fit soumettre au ‘’pental’’ (c'est-à-dire au sérum de vérité) en réponse aux polémiques aux sujet de la fiabilité de l’hypnose.
Zanfretta, non seulement confirma tout ce qu’il avait dit, mais il raconta que dernièrement il avait été soulevé par une lumière de couleur verte qui le transporta dans un vaisseau alien.
Ses aventures malheureusement n’étaient pas encore finies : vers 22 heures 30, le 2 Décembre 1979, il disparu à nouveau alors qu’il se trouvait à bord d’une ‘’Austin mini’’, toujours dans la périphérie de Gênes.
À cette occasion, quatre autres vigiles virent distinctivement l’OVNI : en effet, dans un nuage immobile surgirent à l’improviste deux ‘’phares’’ qui éclairèrent les hommes à la recherche de leur collègue.
L’épisode se déroula sur les monts près de Torriglia.
Le lieutenant Giovanni Cassiba, chef de service, vida son chargeur sur ses phares.
Dans la séance d’hypnose suivante, Zanfretta raconta avoir été enlevé avec son auto et transporté à l’intérieur du vaisseau : et parlant avec ces mystérieux interlocuteurs, à un certain moment, il dit ‘’où êtes vous allé ? ’’ et quoi faire en Espagne ? pourquoi ? mais tous ensemble ? bien, mais vous terrorisez les gens ‘’.
Le lendemain, Mardi 4 Décembre 1979, le service international de l’ANSA transmis à toute la presse italienne le flash suivant : ‘’ Guadalajara (Espagne) – un vétérinaire espagnol a affirmé avoir été suivi par un objet volant non identifié pendant qu’il se trouvait au volant de sa voiture sur une route près de Guadalajara à une cinquantaine de kilomètres de Madrid.
D’après son témoignage, Alfredo Sanchez Costa a vu dans la nuit du samedi au dimanche dernier un OVNI qui l’a suivi : ensuite il l’a doublé pour se positionner au dessus de sa voiture.
Aveuglé par la forte lumière jaune provenant de l’appareil, Sanchez a perdu le contrôle de son véhicule et il est sorti de la route.
Aux dires du vétérinaire, l’objet s’éloignait du chemin de sa voiture quand celle-ci traversait des lieux habités.’’
Confirmation ou bien coincidence ? Le doute persiste encore.
Zanfretta disparu encore une fois le 14 février 1980 : cette fois-ci sa voiture était surveillée et il fut retrouvé tout de suite.
Il fut retrouvé au bord d’un ravin à moitié gelé et fortement commotionné : un paysan résidant dans le voisinage dit qu’il a vu ce soir-là une grosse masse lumineuse semblable à un ballon de rugby… La dernière disparition ‘’ officielle ‘’ de Zanfretta remonte au 13 février 1980, mais pareillement, il était tellement gardé à vue, qu’il ne réussi pas à rencontrer ces ‘’interlocuteurs’’. Lors des séances d’hypnose du docteur Moretti, Zanfretta répondait de cette façon ‘’ demande avec réponse négative, tixel ‘’ et tous les efforts pour aller plus loin était inutile, le vigile était désormais absolument en dehors de tout contrôle hypnotique.
Le procureur de Gênes, suite à ses aventures, suspendit sans raison officielle le port d’armes de Zanfretta : pour qu’il puisse le reprendre à nouveau, il aurait fallu qu’il engage un avocat, mais Zanfretta était de toute façon fatigué, ses cheveux étaient devenus gris au bout de ces quelques mois.
Le 10 Décembre 1982, Fortunato Zanfretta abandonna l’Institut de Vigilance pour un paisible travail de magasinier : cependant, après quelques temps, la nostalgie pour son ancien travail lui fit remettre son ancien uniforme de vigile dans le même Institut.
Encore aujourd’hui son histoire reste inexpliqué.
‘’ INVAXON’’ le cas Zanfretta au cinéma
L’aventure du vigile Fortunato Zanfretta survenue à Torriglia a donnée naissance à un film de science-fiction qui est en cours de tournage dans la région de Gênes, dont la sortie est prévue en Italie en Octobre 2004.
‘’Corriere della Sera’’ june 30th 2008
Ce film se base sur les faits encore inexpliqués du ‘’ cas Zanfretta ‘’ classé par le gouvernement américain dans les ‘’X files ‘’. Dans ce film, Zanfretta lui-même jouera son premier rôle et aura à ses côtés un autre acteur ‘’spécial’’ en la personne de l’astronaute italien Franco Malerba qui a participé à la mission STS 46 à bord de ‘’Space Shutle Atlantis’’ le 31 juillet 1992.
Il aura le rôle d’un commandant et à charge la direction scientifique de ce film.
Avec Franco Malerba, la NASA elle-même participera au projet en mettant à disposition la base de ‘’Kennedy Space Center’’ avec sa mythique rampe de lancement, ainsi que certains ‘’Space Shutles’’ pour les prises de vue, peu de productions auront eu la chance d’avoir cette collaboration avec la NASA et cela fera de ‘’Invaxon’’ un des films qui aaura cette particularité.
Ce film aura avant tout un but humanitaire, ni des acteurs, producteur, techniciens, ne touchera de bébéfices : ceci iront à une association humanitaire pour la lutte contre une maladie héréditaire incurable ‘’ le syndrome Martin 7 Bell ‘’ plus connue sous le nom ‘’syndrome x-fragile’’. La notoriété et la publicité faite autour du film aidera à mieux faire connaître cette maladie qui se répand.
La première partie (1978) du film sera en noir et blanc.
Le scénario : le vigile Zanfretta durant sa ronde à Torriglia tome sur une patrouille d’extraterrestres.
Dans les 5 années qui suivent, il rencontra 10 fois : personne ne veut croire à son histoire et ce, malgré les nombreuses épreuves que l’homme endura pour prouver sa bonne foi.
‘’ Les aliens ’’, en attendant, l’ont chargés d’une étrange mission : que Zanfretta, devenu personnage publique, devra porter en avant…
Il y aurais encore à dire sur le cas Zanfretta, mais je crois que l’on va finir avec quelques observations faites dans le secteur de Torriglia, juste avant l’enlèvement de Zanfretta et après sa dernière disparition.
Témoignages recueillis par le Centre Ufologique National Italien.
Signalements avant la première disparition de Zanfretta :
1978 - 30 Juin : 13h45. Marzano di Torriglia. Un objet volant é été observé et même photographié par divers témoins.
1978 - 30 Juin : Rappalo (Gênes). Un objet mystérieux a été pris par hazard en photo (sans doute le même aperçu à Torriglia).
1978 - 27 Juillet : Olcesis, secteur de Torriglia. Un ovni a été photographié depuis une habitation.
1978 - 17 Septembre : Mont Lavagnila (Torriglia). Entre 4h et 5h du matin, deux témoins ont observés dans le ciel pendant 30 minutes un disque bleuté avec des lumières jaune et verte. Il était beaucoup plus gros qu’une étoile et il s’est dirigé vers le Mont Lavignola, laissant derrière lui un sillage lumineux jaune. Quand il fut au-dessus du Mont, il descendit puis remonta en émettant un léger sifflement.
1978 - 6 Décembre : 21 heures. Torriglia. Observation d’un triangle lumineux, qui se dirige vers Marzano di Torriglia.
Observations après le premier enlèvement :
1978 - Décembre : Torriglia. On a relevés des traces en forme de fer à cheval : la cause est que ces traces sont celles laissées par un cheval du voisinage lors d’un passage.
1978 - 7 Décembre : Gênes. Observation d’un grand objet ovoïdale avec un aileron en forme de fer à cheval évoluant en direction de Torriglia.
1980 - 26 Février : 19 heures, Ponte Savignone (Torriglia). Une lumière rouge qui bouge sur l’horizon se déplaçant en rectiligne. Elle disparait au bout d’une demi-heure.
1988 - Septembre : Minuit, location ‘’U foego’’ (Torriglia). Signalisation d’un objet vet-bleu plutôt grand en forme de ‘’ballon de rugby’’, sombre de l’extérieur, mais avec des lumières internes nettes et définies. Ensuite, l’objet s’est assombrit, laissant une trace rouge braise pour devenir une lumière verte-bleu brillante, en forme de fer à cheval. Les témoins disent l’avoir déjà aperçu auparavant à plusieurs reprises.
1988 - 11 Septembre : 0h15, Torriglia. Quelques témoins ont observés dans le ciel une lumière verte-bleu quadri-angulaire qui se projette, en correspondance avec l’inclinaison du Mont Prela (les témoins fournirent des versions différentes).
1988 - 11 Septembre : Graventa (Torriglia). Encore une grande lumière phosphorescente quadri-angulaire. Le phénomène a été décrit différemment : deux témoins, mère et fils, observèrent une grosse boule ovale lumineuse bleuté apparaître sur le Mont Prela : la femme, terrorisée, demanda à son fils de partir rapidement.
1988 - 18 Septembre : 21 heures. Torriglia. Quatre jeunes gens qui étaient parvenus à un endroit où des gens avaient observés souvent une lumière ovale sur le Mont Prela, racontent avoir vu un gros disque lumineux s’élever et descendre rapidement vers eux : épouvantés, ils s’enfuirent en moto et en voiture et même un en courant, récupéré par la suite par ses amis.
1988 - Septembre/Octobre : Torriglia, entre 6h et 6h30 du matin. Nombreuses signalisations d’ovni.
La forme la plus souvent observée est une forme semblable à un ‘’ballon de rugby’’, grisâtre, stationnaire sur le Mont Prela.
Sur les pentes, des sphères bleus ressemblant à de grosse bulles de savon ont été signalées.
1988 - 1er Octobre : Location ‘’u foego’’ (Torriglia).
Pentes du Mont Prela : deux témoins (Roberto et Emy Balbi) observèrent une lumière rouge, avec une intermitance non rythmique, immobile dans le ciel pendant 2 minutes, puis a disparu.
1989 : Torriglia. Nombreuse observations d’obni. Un témoin signale ‘’une grande forme lumineuse ‘’ avec un éclat opaque mais intense.
1989 – (Mars?) : Torriglia. Observation d’un grand triangle lumineux d’une couleur indéfinie, entre le blanc et le jaune, qui descendait sur les ¾ du Mont Prela pour disparaître d’un coup.
Source : magik.ovni.free.fr/news/
F I N .
L’enlèvement de Fortunato Zanfretta à Torreglia Italie (1978).
17 Février, 2019. Rédigé par les mystères des ovnis.
Tard dans la soirée du Mercredi 6 Décembre 1978 le vigile Fortunato était en service dans sa voiture dans la zone de Torreglia, un petit village dans les hauteurs de l’arrière pays Génois.
L’enlèvement de Fortunato Zanfretta à Torreglia Italie (1978)
Il faisait très froid et la neige qui était tombée durant la journée s’était transformée en une dangereuse plaque glacé qui recouvrait un bonne partie de la chaussée.
Zanfretta qui roulait doucement, cherchait tant que possible d’éviter les coins éclairés qui pouvait révéler sa présence. Pour le reste, cet homme est habitué au climat rude des montagnes et des zones qu’il avait appris à connaitre depuis ces deux dernières années.
Pourtant cette nuit-là ne fut pas comme les autres.
Il était 23 heures 30, quand Zanfretra prit la déviation, qui de la route 45, conduisait à Marzano, le vigile parcouru la petite route qui l’emmena au centre du village : et en continuant, se dirigea vers la villa ‘casa nostra’’ appartenant à un dentiste Genois : Ettore Righi.
La nuit était sombre et sans lune, mais le ciel étoilé rendait moins obscure l’aride paysage de l’appenin Ligure.
Après une centaine de mètres, le vigile laissa derrière lui la dernière habitation et ce retrouva en pleine campagne. Il était presque arrivé quand, avant le dernier virage, le moteur et les phares de la Fiat 126 s’éteignirent : ‘’ mais qu’est ce qui arrive ‘’ murmura t-il, surpris. C’est quand il mit pieds à terre qu’il vit dans le jardin de la villa 4 lumières qui bougeaient : alors, oubliant la panne qu’il venait juste d’avoir et qui l’avait immobilisé. Il prit le micro de sa radio pour communiquer à la centrale opérative de
‘’ l’Institut de Vigilance ‘’ , ce qu’il était prêt à faire, ‘’kangourou 68, kangourou 68’’, appela t-il, je vais à l’intérieur de la villa voir si il y a des voleurs’’.
Mais la centrale ne réponde pas. Même la radio était en panne.
Il empoigna son ‘’Smith & Wisson calibre 38 spécial et sa torche électrique éteinte dans sa main gauche, il s’approcha avec précaution de la villa : le portillon du jardin était ouvert, ainsi que la porte d’entrée. Zanfretta entra et se plaqua contre la mur périphérique et doucement il s’avança de l’angle, il voulait surprendre les voleurs, mais sa stupeur fut grande quand il se sentit toucher sur les épaules.
Rapidement, il se tourna avec la torche allumée et son révolver prêt à faire feu s’il en était nécessaire : cela n’aurai pas été la première fois, mais le faisceau électrique n’illumina pas un voleur… Interrogé le matin suivant par le brigadier des carabiniers Antonio Nucchi, commandant du poste de Torriglia : Zanfretta tremblant raconta avoir vu un être énorme, haut d’environ 3 mètres avec la peau ondulée comme si cela était de la graisse ou bien alors une combinaison : mais de toute façon de couleur grise.
Il avait des yeux triangulaires jaunes, sur sa tête apparaissait des veines rouges, et ses oreilles étaient de forme pointues, ses mains avaient des doigts dont les ongles étaient arrondies. Zanfretta terrorisé laissa tomber sa torche, il la ramassa et couru à toutes jambes vers sa voiture, et là il empoigna le micro.
‘’Le premier appel, dit Carlo Toccalino qui faisait son tour de garde à la centrale, je l’ai reçu vers minuit et quart, Zanfretta hurlait en didant continuellement ‘’maman, maman qu’est ce qu’il est affreux’’, je lui est alors demandé si il était en train de se faire agresser, il me répondit : ‘’non, ce ne sont pas des hommes, ce ne sont pas des hommes’’ et à ce moment la communication s’interrompa.’’
Pendant que Zanfretta hurlait à la radio, tout d’un coup une grande lueur triangulaire s’éleva de derrière la maison : il l’a décrivit plus tard comme étant un disque lumineux plus large que la villa : la lumière l’aveugla à tel point qu’il dû se cacher les yeux avec ses bras, puis dans un grand sifflement et une accélération fantastique l’appareil se perdit dans le ciel.
Sur le terrain où l’ovni se serait posé, les carabiniers ont découverts une grande trace semi circulaire qu’ils définirent comme une empreinte laissée par un hélicoptère ou bien par quelque chose d’important qui se serait posé dans le pré avoisinant la villa.
Zanfretta s’était évanoui. Quand ses collègues l’eurent trouvés après une heure de recherche, il était près de la villa, en état de choc.
Pendant qu’ils l’emmenaient, lui continuait à dire ‘’je les ais vu, je les ais vu’’ et vraisemblablement il n’était pas le seul.
Les carabiniers, durant leur enquête, trouvèrent 52 témoins qui confirmèrent qu’à cette heure-là et dans cette zone ils ont observés un gros objet volant de forme aplatis et triangulaire diffusant une intense lumière variant du blanc au rouge.
Vendredi 8 Décembre : le quotidien ‘’Il Secondo XIV’’ est paru un titre et six colonnes ‘’Rencontre Rapprochée à Torriglia’’ et c’est comme ça que le monde entier a pris connaissance du cas du vigile qui avait vu un ovni…
Rino Di Stefano, journaliste, en parle : ‘’À cette époque, j’étais chroniqueur au quotidien Génois du soir (Corriere Mercantile) ‘’ et je me souviens du climat de curiosité et d’amusement septique que la nouvelle avait provoquée : non seulement auprès du public mais aussi dans la rédaction des journaux, évidemment ce n’était pas facile de prendre au sérieux l’histoire de ‘’l’extraterrestre haut de 3 mètres’’.
Toutefois, si on aurait voulu archiver l’épisode, il aurait fallu trouver une explication logique à au moins trois questions : l’état de choc du vigile, l’énorme empreinte trouvée près de la villa et les 52 témoins.
Il me semblait logique avant de traiter de fou cet homme ou de le définir comme mythomane ou bien pire, qu’il faillait démonter les résultats de l’enquête faite par les carabiniers. Pourquoi ne pas enquêter sur Pier Fortunato Zanfretta et sur les faits survenues cette nuit-là ?
Avec surprise, je me suis aperçu que les autres collègues journalistes se gardaient bien de le faire, j’ai eu l’impression que la mentalité courante se résumait à ces phrases ‘’du moment qu’il dit avoir vu une soucoupe volante et un monstrueux extraterrestre, il doit être vraiment fou’’.
Pour ce qui était des carabiniers, certainement quelques uns devaient penser qu’ils perdaient leurs temps : c’est sûrement cette dernière conviction qui m’a donné envie de m’occuper du cas Zanfretta.
Aussi parce que tout le monde comptait sur l’aspect ufologique de la question, laissant de côté le drame humain que vivait cet homme. Je me demandai ‘’est-ce possible qu’un vigile connu comme étant une personne honnête et correcte, père de deux enfants, s’invente de toutes pièces une histoire de ce genre, risquant de perdre son emploi. Et les témoignages de ces 52 personnes qui validaient son récit, est-ce que son état de choc était une simulation ? ‘’. Je voulais en savoir plus.
Les responsables de l’Institut de vigilance ‘’Val Bisagno’’ se disent prêt à collaborer avec moi. Le directeur Gianfranco Tutti me raconta que son associé Luigi Cerda avait déjà prévu de porter plainte contre X pour l’histoire qui venait de se passer, ‘’nous voulons que toute la lumière soit faite sur cette histoire’’ : ils avaient peur de la publicité négative que cette affaire pouvait leur apporter.
La première chose que je leur demanda, c’était de parler avec Zanfretta : et cela ce fit. Le vigile, aux premiers abords, me paru timide et embarrassé.
Je m’aperçu que toute la rumeur faite autour de lui le gênait énormément : ‘’des personnes inconnues téléphonent à la maison pour se moquer de moi’’, se plaignit-il, ‘’je ne sais pas ce que c’était ce que j’ai vu mais je l’ai bien vu, je ne suis pas un menteur’’.
PHOTOS DES LIEUX :
LA SÉANCE D’HYPNOSE
Après avoir publié mon premier article sur Zanfretta, je fus contacté par divers ufologues : j’ai coupé court avec eux, mais j’ai accepté une suggestion : demander à Zanfretta de se soumettre à une hypnose.
L’hypnose, c’est vrai, est une méthode utilisé pour faire revivre des expériences passées en dissociant le côté conscient de l’individu, pourquoi ne pas essayer ?
Zanfretta consenti de suite : et le soir du 23 Décembre, il se trouva allongé, hypnosé sur le petit lit du docteur Mauro Moretti.
Le résultat de cette séance, enregistrée sur bande audio fut déconcertante.
À Un moment donné, Zanfretta commença à revivre les instants où il était entré dans le jardin de la villa…
Zanfretta : ‘’Qu’est-ce qu’il t a ? Qu’est-ce qui arrive ? Maman’’.
Moretti : ‘’Que ce passe-t-il ? Racontez moi, je suis avec vous. Il ne peut rien vous arrivez, dites-moi ce que vous voyez’’.
Zanfretta : ‘’Madonna, pourquoi je devrai venir avec vous ? Que voulez-vous me faire? Que sont toutes ces lumières, vous n’êtes pas des humains, allez vous-en … que me mettez-vous sur la tête ? allez vous-en … je ne veux pas … laissez moi tranquille ‘’.
Il était clair que le vigile parlait de détails qui lui étaient inconnus au stade conscient.
Il disait en gros, qu’il avait été enlevé et emmené dans un lieu où on l’a interrogé et fait subir des examens.
Zanfretta : ‘’ je ne veux pas que vous retourniez, je ne veux rien dire? Enlevez-moi cette chose de ma tête… j’attendrai que vous reveniez… quelle chaleur… enlevez-moi ce truc de la tête… allez vous-en… vous êtes des monstres… je veux retourné chez moi… ma torche’’.
Zanfretta donc, racontait qu’il avait été enlevé, même si ma curiosité avait été partiellement payée, je n’ai pas voulu écrire d’article sur cette séance d’hypnose : les révélations involontaire de ce vigile me semblait trop irréelles pour être prises en considération.
D’autres événement s
Puis dans la nuit du 27 au 28 Décembre : ‘’je suis entouré d’un brouillard épais et je ne vois rien’’, criait le vigile à la radio : il était 23 heures 46. Quatre minutes après, Zanfretta appela de nouveau, mais cette fois-ci sa voix était plus calme, presque obéissante, ‘’ma voiture s’arrête, dit-il, je vois une grande lumière : maintenant je sors’’.
Les recherches furent gênées par le brouillard et la pluie qui à ce moment-là tombait dans la région. La ‘’Fiat’’ dans laquelle voyageai Zanfretta fut retrouvée après une heure de recherche dans un renfoncement de la route de montagne qui mène à la villa des Rossi. Le premier à voir Zanfretta fut le brigadier Travenzoli : il tremblait et pleurait ‘’ils disent qu’ils veulent m’emmener, que vont devenir mes enfants, je ne veux pas, je ne veux pas’’.
Étrangement, malgré la pluie et le froid, le vigile avait le visage et les habits secs, le brigadier remarqua que tout ce qui était au dessus de son nez était très chaud, ces oreilles étaient rouge sang : étonnamment, le toit de sa voiture était brûlant comme s’il avait été exposé à une forte chaleur.
Près de l’auto, des empreintes gigantesques de semelles concaves, longues de plus de 50 cm. étaient présentes.
Tous ces éléments firent ensuite partie du rapport informatif de ‘’l’observation de l’ovni et des humanoïdes de la part de Zanfretta Fortunato’’, que le brigadier Nuchi envoya à la préfecture de Gênes le 3 Janvier 1979 pour que soit prise des décisions.
Le rapport a fini sur le bureau du substitut qui le passa pour compétence au juge instructeur Gian Rodolfo Sciaccaluga : ensuite, il parvint au juge Russo, seulement le 11 Janvier 1980.
Au bout d’une année, il le fit archiver avec le numéro 203 pour ‘’manque extrêmes de faits’’, du reste le même commandant des carabiniers avait déjà pris la précaution d’informer le ministre de l’intérieur et les hauts commandants militaires avec 2 télex, un le 18 Décembre et l’autre le 28 Décembre 1978. Dans les messages, le degré de fiabilité des événements décrits était défini ‘’bon’’.
Après la seconde rencontre rapprochée, quelqu’un commença à penser que malgré les interrogations qui émergé de ces évènements nocturnes (empreintes géantes, tôle de voiture chaude…) il serait bon de vérifier si Zanfretta était sain d’esprit? Et c’est pour cela que l’Institut de Vigilance l’envoya plusieurs fois chez le professeur Giomo Gianotti (spécialiste en neurologie, maladies nerveuses et mentales, vice principalde l’hôpital de Gênes, St. Martino).
Le 31 Janvier 1979, le professeur Gianotti a établi le certificat suivant : ‘’ à la demande de la direction de l’Institut de vigilance dont dépend le vigile : j’ai visité en date du 28 et 30 Décembe 1978, Monsieur Zanfretta Fortunato, âgé de 26 ans, de profession vigile assermenté, à une visite neuropsychiatrique comme dans les 2 examens précédents. J’ai trouvé M. Zanfretta en parfaite condition psychique et neurologique, le patient ne présente aucune altération psychosensorielle et sa capacité de vouloir et de critique est normale. Je retients que M. Zanfretta est apte à exercer son travail de manière inconditionnel, il n’a besoin d’aucune période d’observation ni même de conseils thérapeutiques’’.
L’opinion du professeur Gianotti a eu beaucoup d’effet auprès du public et des forces de l’ordre.
Le cas sortit des limites Génoise : Enzo Tortora présentateur célèbre du programme télévisé ‘’ porto bello ‘’ (programme de forte audience) invita par deux fois Zanfretta sur l’antenne de la RAI 3 : en mettant dans l’embarras (à cause de lui) Cesare Musatti, père de la psychanalyse italienne.
Musatti, aprè avoir assister à une séance d’hypnose en direct devant les caméras, dit que pour lui Zanfretta était quelqu’un de bonne foi : même s’il était difficile de distinguer la réalité objective de celle subjective.
En même temps, la presse étrangère s’intéressa au vigile. Le populaire journal des États-Unis ‘’National Enquire’’ (tiré à 5 millions d’exemplaires) lui dédia 3 articles en première page : et c’est dans ce climat que le soir du 30 Juillet 1979, le vigile fut victime d’une troisième abduction, cette fois-ci, il était sur son scooter dans la zone du Quarto (Gênes) car sur les montagnes, vue les précédents événements, on ne l’envoya plus.
De toute façon, cela ne l’a pas empêché de disparaître à nouveau : et ils le retrouvèrent après deux heures de recherche au sommet du Mont ‘’Fasce’’ situé aux ‘’épaules’’ de Gênes.
On se demande comment il a pu arrivé là haut, alors que l’unique voie d’accès était patrouillé, et que par ce chemin Zanfretta n’était pas passé, la réponse fut cherchée dans l’hypnose.
Cette fois-ci, la séance s’était déroulée auprès de Centre National d’Hypnose Médicale et Psychologique de Milan où le professeur Marco Marchesan, à la demande de Zanfretta, le fit soumettre au ‘’pental’’ (c'est-à-dire au sérum de vérité) en réponse aux polémiques aux sujet de la fiabilité de l’hypnose.
Zanfretta, non seulement confirma tout ce qu’il avait dit, mais il raconta que dernièrement il avait été soulevé par une lumière de couleur verte qui le transporta dans un vaisseau alien.
Ses aventures malheureusement n’étaient pas encore finies : vers 22 heures 30, le 2 Décembre 1979, il disparu à nouveau alors qu’il se trouvait à bord d’une ‘’Austin mini’’, toujours dans la périphérie de Gênes.
À cette occasion, quatre autres vigiles virent distinctivement l’OVNI : en effet, dans un nuage immobile surgirent à l’improviste deux ‘’phares’’ qui éclairèrent les hommes à la recherche de leur collègue.
L’épisode se déroula sur les monts près de Torriglia.
Le lieutenant Giovanni Cassiba, chef de service, vida son chargeur sur ses phares.
Dans la séance d’hypnose suivante, Zanfretta raconta avoir été enlevé avec son auto et transporté à l’intérieur du vaisseau : et parlant avec ces mystérieux interlocuteurs, à un certain moment, il dit ‘’où êtes vous allé ? ’’ et quoi faire en Espagne ? pourquoi ? mais tous ensemble ? bien, mais vous terrorisez les gens ‘’.
Le lendemain, Mardi 4 Décembre 1979, le service international de l’ANSA transmis à toute la presse italienne le flash suivant : ‘’ Guadalajara (Espagne) – un vétérinaire espagnol a affirmé avoir été suivi par un objet volant non identifié pendant qu’il se trouvait au volant de sa voiture sur une route près de Guadalajara à une cinquantaine de kilomètres de Madrid.
D’après son témoignage, Alfredo Sanchez Costa a vu dans la nuit du samedi au dimanche dernier un OVNI qui l’a suivi : ensuite il l’a doublé pour se positionner au dessus de sa voiture.
Aveuglé par la forte lumière jaune provenant de l’appareil, Sanchez a perdu le contrôle de son véhicule et il est sorti de la route.
Aux dires du vétérinaire, l’objet s’éloignait du chemin de sa voiture quand celle-ci traversait des lieux habités.’’
Confirmation ou bien coincidence ? Le doute persiste encore.
Zanfretta disparu encore une fois le 14 février 1980 : cette fois-ci sa voiture était surveillée et il fut retrouvé tout de suite.
Il fut retrouvé au bord d’un ravin à moitié gelé et fortement commotionné : un paysan résidant dans le voisinage dit qu’il a vu ce soir-là une grosse masse lumineuse semblable à un ballon de rugby… La dernière disparition ‘’ officielle ‘’ de Zanfretta remonte au 13 février 1980, mais pareillement, il était tellement gardé à vue, qu’il ne réussi pas à rencontrer ces ‘’interlocuteurs’’. Lors des séances d’hypnose du docteur Moretti, Zanfretta répondait de cette façon ‘’ demande avec réponse négative, tixel ‘’ et tous les efforts pour aller plus loin était inutile, le vigile était désormais absolument en dehors de tout contrôle hypnotique.
Le procureur de Gênes, suite à ses aventures, suspendit sans raison officielle le port d’armes de Zanfretta : pour qu’il puisse le reprendre à nouveau, il aurait fallu qu’il engage un avocat, mais Zanfretta était de toute façon fatigué, ses cheveux étaient devenus gris au bout de ces quelques mois.
Le 10 Décembre 1982, Fortunato Zanfretta abandonna l’Institut de Vigilance pour un paisible travail de magasinier : cependant, après quelques temps, la nostalgie pour son ancien travail lui fit remettre son ancien uniforme de vigile dans le même Institut.
Encore aujourd’hui son histoire reste inexpliqué.
‘’ INVAXON’’ le cas Zanfretta au cinéma
L’aventure du vigile Fortunato Zanfretta survenue à Torriglia a donnée naissance à un film de science-fiction qui est en cours de tournage dans la région de Gênes, dont la sortie est prévue en Italie en Octobre 2004.
‘’Corriere della Sera’’ june 30th 2008
Ce film se base sur les faits encore inexpliqués du ‘’ cas Zanfretta ‘’ classé par le gouvernement américain dans les ‘’X files ‘’. Dans ce film, Zanfretta lui-même jouera son premier rôle et aura à ses côtés un autre acteur ‘’spécial’’ en la personne de l’astronaute italien Franco Malerba qui a participé à la mission STS 46 à bord de ‘’Space Shutle Atlantis’’ le 31 juillet 1992.
Il aura le rôle d’un commandant et à charge la direction scientifique de ce film.
Avec Franco Malerba, la NASA elle-même participera au projet en mettant à disposition la base de ‘’Kennedy Space Center’’ avec sa mythique rampe de lancement, ainsi que certains ‘’Space Shutles’’ pour les prises de vue, peu de productions auront eu la chance d’avoir cette collaboration avec la NASA et cela fera de ‘’Invaxon’’ un des films qui aaura cette particularité.
Ce film aura avant tout un but humanitaire, ni des acteurs, producteur, techniciens, ne touchera de bébéfices : ceci iront à une association humanitaire pour la lutte contre une maladie héréditaire incurable ‘’ le syndrome Martin 7 Bell ‘’ plus connue sous le nom ‘’syndrome x-fragile’’. La notoriété et la publicité faite autour du film aidera à mieux faire connaître cette maladie qui se répand.
La première partie (1978) du film sera en noir et blanc.
Le scénario : le vigile Zanfretta durant sa ronde à Torriglia tome sur une patrouille d’extraterrestres.
Dans les 5 années qui suivent, il rencontra 10 fois : personne ne veut croire à son histoire et ce, malgré les nombreuses épreuves que l’homme endura pour prouver sa bonne foi.
‘’ Les aliens ’’, en attendant, l’ont chargés d’une étrange mission : que Zanfretta, devenu personnage publique, devra porter en avant…
Il y aurais encore à dire sur le cas Zanfretta, mais je crois que l’on va finir avec quelques observations faites dans le secteur de Torriglia, juste avant l’enlèvement de Zanfretta et après sa dernière disparition.
Témoignages recueillis par le Centre Ufologique National Italien.
Signalements avant la première disparition de Zanfretta :
1978 - 30 Juin : 13h45. Marzano di Torriglia. Un objet volant é été observé et même photographié par divers témoins.
1978 - 30 Juin : Rappalo (Gênes). Un objet mystérieux a été pris par hazard en photo (sans doute le même aperçu à Torriglia).
1978 - 27 Juillet : Olcesis, secteur de Torriglia. Un ovni a été photographié depuis une habitation.
1978 - 17 Septembre : Mont Lavagnila (Torriglia). Entre 4h et 5h du matin, deux témoins ont observés dans le ciel pendant 30 minutes un disque bleuté avec des lumières jaune et verte. Il était beaucoup plus gros qu’une étoile et il s’est dirigé vers le Mont Lavignola, laissant derrière lui un sillage lumineux jaune. Quand il fut au-dessus du Mont, il descendit puis remonta en émettant un léger sifflement.
1978 - 6 Décembre : 21 heures. Torriglia. Observation d’un triangle lumineux, qui se dirige vers Marzano di Torriglia.
Observations après le premier enlèvement :
1978 - Décembre : Torriglia. On a relevés des traces en forme de fer à cheval : la cause est que ces traces sont celles laissées par un cheval du voisinage lors d’un passage.
1978 - 7 Décembre : Gênes. Observation d’un grand objet ovoïdale avec un aileron en forme de fer à cheval évoluant en direction de Torriglia.
1980 - 26 Février : 19 heures, Ponte Savignone (Torriglia). Une lumière rouge qui bouge sur l’horizon se déplaçant en rectiligne. Elle disparait au bout d’une demi-heure.
1988 - Septembre : Minuit, location ‘’U foego’’ (Torriglia). Signalisation d’un objet vet-bleu plutôt grand en forme de ‘’ballon de rugby’’, sombre de l’extérieur, mais avec des lumières internes nettes et définies. Ensuite, l’objet s’est assombrit, laissant une trace rouge braise pour devenir une lumière verte-bleu brillante, en forme de fer à cheval. Les témoins disent l’avoir déjà aperçu auparavant à plusieurs reprises.
1988 - 11 Septembre : 0h15, Torriglia. Quelques témoins ont observés dans le ciel une lumière verte-bleu quadri-angulaire qui se projette, en correspondance avec l’inclinaison du Mont Prela (les témoins fournirent des versions différentes).
1988 - 11 Septembre : Graventa (Torriglia). Encore une grande lumière phosphorescente quadri-angulaire. Le phénomène a été décrit différemment : deux témoins, mère et fils, observèrent une grosse boule ovale lumineuse bleuté apparaître sur le Mont Prela : la femme, terrorisée, demanda à son fils de partir rapidement.
1988 - 18 Septembre : 21 heures. Torriglia. Quatre jeunes gens qui étaient parvenus à un endroit où des gens avaient observés souvent une lumière ovale sur le Mont Prela, racontent avoir vu un gros disque lumineux s’élever et descendre rapidement vers eux : épouvantés, ils s’enfuirent en moto et en voiture et même un en courant, récupéré par la suite par ses amis.
1988 - Septembre/Octobre : Torriglia, entre 6h et 6h30 du matin. Nombreuses signalisations d’ovni.
La forme la plus souvent observée est une forme semblable à un ‘’ballon de rugby’’, grisâtre, stationnaire sur le Mont Prela.
Sur les pentes, des sphères bleus ressemblant à de grosse bulles de savon ont été signalées.
1988 - 1er Octobre : Location ‘’u foego’’ (Torriglia).
Pentes du Mont Prela : deux témoins (Roberto et Emy Balbi) observèrent une lumière rouge, avec une intermitance non rythmique, immobile dans le ciel pendant 2 minutes, puis a disparu.
1989 : Torriglia. Nombreuse observations d’obni. Un témoin signale ‘’une grande forme lumineuse ‘’ avec un éclat opaque mais intense.
1989 – (Mars?) : Torriglia. Observation d’un grand triangle lumineux d’une couleur indéfinie, entre le blanc et le jaune, qui descendait sur les ¾ du Mont Prela pour disparaître d’un coup.
Source : magik.ovni.free.fr/news/
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