Post by Andrei Tchentchik on Mar 27, 2020 17:58:44 GMT 2
(#403).- Florida Malboeuf, 6 Jan. 1977, Montréal, Québec, Canada. Archives.
Florida Malboeuf, 6 Jan. 1977, Montréal, Québec, Canada.
URECAT - Catalogue d'entités apparentées UFO
URECAT est un catalogue officiel de rapports d'observations d'entités liées à des UFO dans le but de fournir des informations de qualité pour des études précises sur le sujet. Des informations supplémentaires, des corrections et des critiques sont les bienvenues à patrick.gross@inbox.com, veuillez indiquer si vous souhaitez être crédité pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.
Bref résumé de l'événement et suivi :
Au moins un journal et des ufologues de la région ont rapporté que Mme Florida Malboeuf, âgée de 58 ans, du 6420 rue Casgrain, à Montréal, était profondément traumatisée par son observation du 6 janvier 1977.
Plutôt insomniaque à cause d'une affection bronchique, vers 23 h 30, Mme Florida Malboeuf s'est assise à sa fenêtre. Elle aperçut soudain une sorte de "grande assiette" ou de "grande huître", de 15 pieds de diamètre, dérivant dans le ciel comme si elle venait vers elle, un appareil gris argenté muni de phares blancs à sa base, qui l'éblouirent presque. , elle a ensuite été cachée par le toit de l’immeuble de 3 étages en face du 6399 rue Casgrain, au coin de Burelle, puis atterri sur ce toit à 60 mètres seulement d’elle.
Elle se frotta les yeux et se pinça pour s'assurer qu'elle ne rêvait pas, et elle dut accepter le fait que ce qu'elle avait vu était réel.
Elle a ensuite vu venir sur le toit, deux êtres étranges et minces, mesurant 6 pieds et 5 pouces, sortant, vêtus d'un costume pâle, sans ceinture et très serrés. Ces "êtres de l'espace" ne lui semblaient pas peser plus de 25 kilos chacun, leur marche semblant très facile.
Les êtres ont avancé vers le bord du toit, ont regardé dans la rue, puis vers le ciel. Puis ils se sont retirés et quelques secondes plus tard, l'engin s'est élevé et est à nouveau entré dans son champ de vision, pour dériver lentement vers le sud, comme s'il se dirigeait vers la rue Bellechasse. L'ensemble, de l'atterrissage au décollage, n'a pas duré une minute.
Secouée, Mme Malboeuf se recoucha mais avait du mal à s'endormir. Ce n'était pas avant 18h00 le lendemain, elle a raconté cette observation à son fils André, 24 ans. Malgré tout inquiète d'avoir été victime d'une farce, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police.
À en juger par l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle avait dû vivre une expérience très traumatisante. Il s'est immédiatement mis en route pour enquêter, d'abord en consultant des voisins, dont aucun n'avait rien vu de particulier ou entendu hors de l'ordinaire la nuit précédente. Il lui sembla que le toit du bâtiment vacant de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'avait d'autre choix que de grimper une issue de secours et de traverser un gouffre large de deux mètres de large en utilisant une échelle comme pont de fortune.
Quand il atteignit le toit, il fut surpris par ce qu'il vit. Une couche de glace circulaire de 20 pieds de large recouvrait une fine couche de neige. Il était évident qu'une certaine forme de chaleur avait fait fondre la neige et que le cercle s'était ensuite gelé. Cette nappe de glace était entourée de deux plus petites plaques de glace de forme ovale situées à quelques pieds de distance, vraisemblablement créées par la même source de chaleur. Les plus petites couches de glace semblaient être plates, tandis que la plus grande était visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
André a immédiatement appelé le Journal de Montréal pour signaler ce qui s’était passé et a averti le contrôle de la circulation aérienne de l’aéroport de Dorval, qui lui a annoncé que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux canadien et américain NORAD. Le contrôleur du trafic aérien de Dorval l'informa également que trois autres personnes l'avaient appelée pour signaler un OVNI dérivant au-dessus de la station de métro Rosemont à proximité, peu de temps après l'observation de sa mère.
Le lendemain, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interrogé Mme Malboeuf et a photographié le site d'atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police de la communauté urbaine de Montréal et deux de leurs agents sont venus peu de temps après et ont interrogé Mme Malboeuf et ont mené une enquête qu'ils ont spécifiée comme étant non officielle et personnelle.
Après la parution de l'article dans l'édition du dimanche du Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les enquêteurs sur les ovnis de la région se sont retrouvés sur le lieu de l'observation. Howard Gontovnick, ufologue de la région de Laval, a publié le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une bonne partie de la couche de glace était recouverte de neige, il a réussi à prendre plusieurs photos en couleur. Le lendemain, Marc Leduc d'OVNI-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une forte tempête de neige, il a été empêché d'inspecter le toit. Il est revenu mercredi soir avec Wido Hoville d'OVNI-Québec, Howard Gontovnick et Paul Dubeau, un autre des témoins d'OVNI de cette observation du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont engagés dans la périlleuse ascension vers le sommet du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprise. Quatre empreintes singulières, prenant naissance au centre de la masse de glace et pointant vers le bord du toit, ont été découvertes. Bien que ces empreintes ressemblent aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles ne ressemblaient à aucun des hommes jamais vus auparavant. Ils mesuraient seulement six pouces de long et seulement 1,7 pouce de large, à l'exclusion du fait qu'ils avaient été fabriqués par un adulte. En raison de l'extrême difficulté d'atteindre le toit et de la largeur étroite des impressions, la possibilité qu'elles appartiennent à un enfant a également été exclue. Contrairement à la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces empreintes était nettement exagérée vers l'intérieur.
Le lien entre les étranges traces de pas et ce qui avait fait fondre la neige de manière circulaire était évident. Les empreintes étaient incrustées dans la couche gelée, suggérant clairement qu'elles devaient avoir été produites alors que la surface était encore à l'état fondu. La configuration des glaces circulaires n’aurait pas pu être créée par des conditions météorologiques clémentes, car les dossiers du bureau météorologique de Dorval indiquaient que la température était restée bien en dessous du point de congélation pendant le mois précédant l’observation. La source de chaleur ne pouvait pas provenir du bâtiment situé au-dessous, car une fine couche de neige non fondue et non altérée a été observée sous la plaque de glace.
On a dit qu'à l'heure de l'observation, le chien d'une voisine de Mme Malboeuf s'est mis à hurler et que le propriétaire de l'animal était incapable de le calmer.
Mme Malboeuf a précisé qu'elle n'avait aucun intérêt antérieur pour les soucoupes volantes et qu'elle ne croyait pas du tout à leur existence. Elle a ajouté que l'événement l'avait tellement bouleversée qu'elle aurait bien mieux préféré ne jamais l'avoir vue.
Tableau d'informations de base :
Numéro de cas : URECAT-001605
Date de l'événement : 6 janvier 1977
Rapport d'événement le plus ancien : 15 janvier 1977
Délai de rapport : jours
Témoin rapporté via : Appelé la police sur les conseils de son fils.
Premier enregistrement présumé de : N / A.
Premier enregistrement certain de : Journal.
Premier type d'enregistrement supposé : N / A.
Premier type d'enregistrement : journal.
Ce fichier a été créé le : 28 juin 2007
Dernière mise à jour de ce fichier le : 28 juin 2007
Pays de l'événement : Canada
Etat / Département : Québec
Type de lieu : Centre-ville
Conditions d'éclairage : nuit
OVNI observé : Oui
Arrivée d'OVNI observée : Oui
Départ OVNI observé : Oui
Relation UFO / entité : Certain
Nombre de témoins : 1 plus indirect
Témoins : 58 ans
Types de témoins : Femme.
Photographie (s) : Non.
Témoins dessinant : Non.
Dessin approuvé par les témoins : Non.
Nombre d'entités : 2
Type d'entité : Humanoïde
Hauteur des entités : 1.60 mètres
Type de tenue d'entités : Une pièce moulante, pas de ceinture,
couvre-chef étanche.
Couleur de la tenue des entités : pâle.
Couleur de la peau des entités : Non rapporté.
Corps des entités : Mince.
Tête des entités : Non rapporté, sous couvre-chef serré.
Yeux des entités : Non visible.
Bouche des entités : Non visible.
Nez des entités : Non visible.
Pieds des entités : Non rapporté.
Bras des entités : Non rapporté.
Doigts des entités : Non rapporté.
Nombre de doigts des entités : Non visible.
Cheveux des entités : Aucun rapporté.
Voix d'entités : Aucune entendue.
Actions des entités : Est sorti d'OVNI, a regardé la rue, a regardé
le ciel, est rentré, départ.
Interactions entités / témoins : Aucune.
Témoins (s) réactions : Observées.
Témoins (s) des sentiments : Très surpris, choqué.
Interprétation de témoin (s) : Soucoupe volante et occupants.
Catégorie d'explication : Visiteurs extraterrestres.
Certitude d'explication : Moyenne.
Récits :
[Réf. pj1:] LE PETIT JOURNAL :
Mme Florida Malboeuf ne peut plus dormir !
Elle a vu une soucoupe volante et deux "Êtres de l'espace" sur le toit de la maison opposée.
Mme Florida Malboeuf, âgée de 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal, est profondément traumatisée. Vous seriez avec moins. En ce jeudi du 6 janvier dernier, plutôt insomniaque, Mme Malboeuf était assise à sa fenêtre. Il est 1 heure et 30 minutes du matin. Soudain, que voit-elle? Une sorte de grande assiette ou plutôt une grosse huître de 15 pieds de diamètre atterrissant sur le toit d'une des maisons opposées (plus précisément le 6399 de la rue Casgrain, angle Burelle).
Elle se frotte les yeux, se pince pour voir si elle rêve. Mais elle doit s'abandonner à la réalité: elle voit ce qu'elle voit. Et ce n'est pas tout. De cet appareil gris argenté muni de phares à sa base, de cette soucoupe volante (car il n’y a plus de doute qu’il en est un, Mme Malboeuf voit sortir deux êtres étranges de 6 pieds et 5 pouces, vêtus de costume, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l’espace" ne semblent pas peser plus de 25 kilos chacun, leur marche est si légère. Ils avancent vers le bord du toit, regardent dans la rue, puis vers le ciel. Ils remettent leur appareil en place et disparaissent au fur et à mesure qu'ils arrivent. Le tout, de l'atterrissage au décollage, ne dure pas une minute.
"Les soucoupes volantes ne m'intéressaient pas", a déclaré Mme Malboeuf. "Je n'y croyais même pas du tout. Cet événement m'a tellement bouleversé que j'aurais bien davantage préféré ne jamais avoir vu ça ..."
C'était cependant comme on dit, quelque chose d'étonnant. Il est entendu qu'à cette heure-là, le chien d'un voisin a commencé à hurler, le propriétaire de l'animal incapable de le calmer. Malgré tout inquiète d'avoir été victime d'un mauvais tour, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police. Ce n’est que quelques heures plus tard que son fils André, âgé de 25 ans, monte sur le toit de la maison qui reçoit cette visite étrange pour y avoir la surprise de sa vie: la découverte d’un cercle de 15 pieds de diamètre. neige et glace fondues. Mme Malboeuf s'est également rendue à Dorval où il a été admis qu'un objet étrange glissant d'ouest en est avait été aperçu cette nuit-là dans le ciel de Montréal à une vitesse approximative de 800 milles à l'heure. De plus, quatre ou cinq autres personnes ont fait appel à Dorval pour confirmer le phénomène.
[Réf. yb1:] YURKO BONDARCHUK :
Montréal-Jan. 6, 1977
Les observations d'OVNIS au-dessus de grands centres urbains sont considérées comme plutôt rares, car la grande majorité des incidents se produisent normalement dans des zones rurales et isolées. Les cas impliquant la présence d'occupants d'OVNI en milieu urbain sont encore plus rares.
Pour cette raison, l'apparition annoncée de deux passagers d'ovnis sur un toit du centre-ville de Montréal le 6 janvier 1977 doit être considérée comme unique et sans précédent. Ironiquement, cette observation a coïncidé avec la veille de Noël célébrée par des millions de chrétiens, conformément au vieux calendrier julien. Pour les enfants d’origine ukrainienne, il est de tradition de rechercher dans le ciel la première étoile du soir qui annonce l’ouverture des festivités de la veille de Noël. Mais pour Mme Florida Malboeuf de la rue Casgrain à Montréal, la lumière brillante dans le ciel s’est avérée être bien plus qu’un prélude à une tradition séculaire.
Vers cette heure du matin, Mme Malboeuf se leva de son lit, incapable de dormir à cause d’une affection bronchique. Regardant par la fenêtre, elle vit un objet étrange à la dérive au-dessus du toit de la maison de l'autre côté de la rue. À son grand étonnement, il semblait se diriger vers elle. Elle pouvait clairement voir qu'elle était en forme de dôme et ressemblait à une huître aplatie avec une chaîne de lumières brillantes autour de son bord qui la rendait presque aveugle. Elle a estimé que l'objet avait environ 20 pieds de large. Tandis qu'elle observait le vaisseau flamboyant planait au-dessus du bâtiment de trois étages en face, mais elle ne pouvait plus le voir de son point de vue situé au niveau de la rue car il avait été obscurci derrière la terrasse du toit.
Quelques secondes plus tard, deux personnages sont apparus au bord du toit. Même si leur façon de marcher n’avait rien d’inhabituel, elle savait instinctivement qu’ils n’étaient pas des humains! Ils semblaient être extrêmement grands, environ six pieds et demi. Ils étaient minces et avaient des bras et des jambes inhabituellement longs. Bien qu'elle ne puisse distinguer leurs traits, leur tête semblait être recouverte de «bonnets de bain» bien ajustés, semblables à ceux portés par les hommes-grenouilles. Le reste de leurs corps semblait couvert d'une tunique moulante blanche.
Apparemment inconscients de sa présence, les deux personnages ont observé la scène, regardant d'abord la rue en dessous et se dirigeant ensuite vers le ciel, comme s'ils cherchaient quelque chose. Leur comportement a semblé humain et après quelques minutes, ils se sont retirés. Quelques secondes plus tard, l'engin s'est élevé et est à nouveau apparu. Il s'éloigna lentement en direction du sud, comme s'il se dirigeait vers la rue Bellechasse.
Secouée, Mme Malboeuf se recoucha mais avait du mal à s'endormir. Ce n'est que vers six heures l'après-midi suivant qu'elle a décidé de raconter à son fils André, 24 ans, son aventure nocturne. À en juger par l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle avait dû vivre une expérience très traumatisante. Il s'est immédiatement mis en route pour enquêter, d'abord en consultant des voisins, dont aucun n'avait rien vu de particulier ou entendu hors de l'ordinaire la nuit précédente. Il lui sembla que le toit du bâtiment vacant de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'avait d'autre choix que de grimper une issue de secours et de traverser un gouffre large de six pieds, en utilisant une échelle comme pont de fortune. Quand il atteignit le toit, il fut surpris par ce qu'il vit. Une couche de glace circulaire de 20 pieds de large recouvrait une fine couche de neige. Il était évident qu'une certaine forme de chaleur avait fait fondre la neige et que le cercle s'était ensuite gelé. Cette nappe de glace était entourée de deux plus petites plaques de glace de forme ovale situées à quelques pieds de distance, vraisemblablement créées par la même source de chaleur. Les plus petites couches de glace semblaient être plates, tandis que la plus grande était visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
Excité par cette preuve d'un possible atterrissage d'OVNI, André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour signaler ce qui s'était passé. Il a également averti le contrôle de la circulation aérienne de l'aéroport de Dorval et a été informé que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux canadien et américain du NORAD, à North Bay, en Ontario, et à Colorado Springs, dans le Colorado. . Le contrôleur du trafic aérien de Dorval l'a également informé que trois autres personnes l'avaient appelée pour signaler ce qui était vraisemblablement le même OVNI dérivant au-dessus de la station de métro Rosemont à proximité, peu de temps après l'observation de Mme Malboeuf. La révélation que ces observations seraient transmises aux plus hauts responsables de la défense tend à confirmer que, contrairement à de nombreuses dénégations officielles, les autorités militaires canadiennes, en collaboration avec les agences américaines, continuent de participer activement à la surveillance des observations d'OVNIS.
Le lendemain, un samedi, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interrogé Mme Malboeuf et a photographié le site d'atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police de la communauté urbaine de Montréal et deux de leurs agents sont arrivés peu de temps après pour interroger Mme Malboeuf et mener une enquête périphérique qu'ils ont décrite comme "non officielle et personnelle".
Après la parution de l'article dans l'édition du dimanche du Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les enquêteurs sur les ovnis de la région se sont retrouvés sur le lieu de l'observation. Howard Gontovnick, ufologue de la région de Laval, a publié le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une bonne partie de la couche de glace était recouverte de neige, il a réussi à prendre plusieurs photos en couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc d'OVNI-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une tempête de neige sévère, il n'a pas pu inspecter le toit. Il est revenu mercredi soir, accompagné de Wido Hoville d'OVNI-Québec, Howard Gontovnick et Paul Dubeau, un autre des témoins d'OVNI du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont engagés dans la périlleuse ascension vers le sommet du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprise. On pouvait voir quatre empreintes particulières, prenant naissance au centre de la masse de glace et pointant vers le bord du toit. Bien que ces empreintes ressemblent aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles ne ressemblaient en rien à celles que les hommes avaient vues auparavant. D'une part, ils mesuraient seulement six pouces de long et seulement 1,7 pouce de large, excluant ainsi la probabilité qu'ils aient été fabriqués par un adulte. De plus, en raison de l'extrême difficulté d'atteindre le toit et de la largeur étroite des impressions, la possibilité qu'elles appartiennent à un enfant pourrait être exclue. Contrairement à la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces empreintes était nettement exagérée vers l'intérieur.
La connexion entre les traces de pas étranges et ce qui a causé la neige dans la fonte en motifs circulaires est indéniable. Les impressions incrustées dans la couche gelée suggèrent qu'elles ont été produites alors que la surface était encore à l'état fondu. Qu'est-ce qui a fait fondre la neige? Les configurations circulaires de glace pourraient être créées par des conditions météorologiques douces. Selon les archives du bureau météorologique de Dorval, la température est tombée en dessous du seuil. Le "choc" nocturne de Malboeuf Une autre possibilité était que la source de chaleur soit originaire du bâtiment. Cependant, la fine couche de neige non fondue sous la banquise est définitivement exclue de cette théorie.
Il est donc clair que les surfaces de glace doivent avoir été produites par une source de chaleur externe. Le fait qu'aucune empreinte de train d'atterrissage n'ait été trouvée dans les pièces circulaires de l'article indiquait que l'engin n'avait pas été couvert. D'après l'emplacement des empreintes de pas, il semblerait que les occupants soient descendus du dessous de l'embarcation et se soient dirigés vers le toit.
En dernière analyse, j'estime que nous pouvons également éliminer la possibilité d'un canular. Pour reproduire les cercles, le canular aurait dû faire appel à un engin silencieux capable de produire une émission de chaleur uniforme de 20 pieds de largeur. À ma connaissance, un tel outil n'existe pas. En ce qui concerne les empreintes de pas, le filou aurait dû engager un enfant de six ans avec une grave boîte de chaussures. Il aurait passé un bon moment dans sa vie alors qu'il se produisait sur le toit de l'immeuble pendant que le "vaisseau miracle" exécutait un tour "instantané de l'été". Et pour terminer le scénario, il aurait fallu convaincre Mme Malboeuf de faire connaître l'histoire fabriquée. Sans gain financier apparent ni publicité pour un parti, la théorie du canular devient d'autant plus ridicule.
En fin de compte, il nous reste des preuves matérielles pour confirmer l'affirmation de Mme Malboeuf selon laquelle deux humanoïdes ont débarqué d'un engin sphérique en vol stationnaire sur le toit de la maison vacante de l'autre côté de la rue.
[Réf. ar1:] ALBERT ROSALES :
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Montréal, Québec, Canada, le 6 janvier 1977 à 01h15, Mme Florida Malboeuf, âgée d'environ 50 ans, était assise à sa fenêtre de la rue Casgrain lorsqu'elle a aperçu une huître en forme de objet métallique à fond, avec une rangée de lumières blanches autour de sa base, arrive du nord et atterrit sur le toit d'un immeuble de trois étages situé de l'autre côté de la rue, à environ 60 pieds d'elle.
Immédiatement, deux personnages sont apparus sur le toit. Ils étaient très grands et minces (plus de 6 pieds), avec de longs bras, vêtus de vêtements blancs en un seul morceau, la tête couverte de "casques de bain" serrés. Ils regardaient la rue, puis le ciel, puis ils sont apparemment revenus à l'objet. Le moment après leur disparition, l’objet est monté du toit d’environ 20 pieds et est parti à l’est.
Son fils André est allé sur le toit en question et a trouvé sur le dessus de la glace et de la neige une large croûte de glace de forme elliptique de 4/5 po d'épaisseur et d'environ 18 pieds de diamètre, manifestement formée par la fonte locale de la neige. Sur cette plaque, quatre empreintes de pas étroits et d'une longueur de seulement 6,5 po étaient en relief sur la plaque et se dirigeaient vers la façade du bâtiment.
Albert Rosales indique que la source est Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Quebec.
[Réf. dj1:] DONALD JOHNSON :
Donald Johnson indique que le 6 janvier 1977 à 1 h 15, Mme Florida Malboeuf, âgée d'environ 50 ans, était assise à sa fenêtre de la rue Casgrain, à Montréal, au Québec, lorsqu'elle a vu une huître en forme de objet métallique à fond avec une rangée de lumières blanches autour de sa base. Elle est venue du nord par avion et a atterri sur le toit d'un immeuble de trois étages situé en face de la rue, à seulement dix mètres de distance.
Immédiatement, deux personnages sont apparus sur le toit, ils avaient plus de six pieds de hauteur et étaient minces, ils portaient de longs bras et ils portaient des uniformes blancs d'une seule pièce avec la tête recouverte de «casques de bain serrés». Ils regardaient la rue, puis le ciel, puis ils sont apparemment retournés à l'objet.
Un instant plus tard, ils ont disparu et l'OVNI s'est élevé du toit à environ 20 pieds, puis s'est envolé vers l'est.
Son fils André se dirigea vers le toit en question et y trouva une large croûte de glace de forme elliptique, de 0,8 pouce d'épaisseur et d'environ 18 pieds de diamètre, qui se trouvait au sommet de la neige, manifestement formée par la fonte locale de la neige. En relief sur cette plaque et en direction de la façade du bâtiment, il y avait quatre petites empreintes de pas étroites de seulement 6,5 pouces de long.
Donald Johnson indique que la source est David F. Webb et Ted Bloecher, HUMCAT: catalogue de rapports d'humanoïdes, cas 1977-01, citant Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Québec.
Points à considérer :
Bien que les données qui ont survécu au fil du temps soient rares, je ne vois aucune raison de suspecter une quelconque fraude ou astuce pour l'exécuter, et je ne vois aucune cause ordinaire pour le rapport.
Liste de problèmes :
Id : 1
Sujet : Data
Gravité : Sévère
Date notée : 28 juin 2007
Elevée par : Patrick Gross
Notée par : Patrick Gross
Description : Manquant le rapport de UFO Quebec.
Proposition : Besoin d'aide.
Statut : Ouvert.
Id : 2
Sujet : Data
Gravité : Moyenne
Date notée : 28 juin 2007
Elevée par : Patrick Gross
Notée par : Patrick Gross
Description : Données manquantes dans certains journaux.
Proposition : Besoin d'aide.
Statut : Ouvert.
Évaluation :
Visiteurs extraterrestres.
Références de sources :
* = Source j'ai vérifié.
? = La source me parle mais ne peut pas encore vérifier. Aide appréciée.
[---]? Article dans le journal Le Journal, Montréal, Canada, janvier 1977.
[---]? Article dans le journal The Sunday Times, Montréal, Canada, janvier 1977.
[pj1] * Article dans le journal hebdomadaire Le Petit journal, Montréal, Canada, 51ème année, numéro 11, semaine du 15 au 21 janvier 1977.
[---]? Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Québec.
[---]? "HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports", affaire 1977-01, compilée par David F. Webb et Ted Bloecher, États-Unis, vers 1978.
[yb1] * "Occupants exotiques: 5 comptes surprenants", article de Yurko Bondarchuk, dans UFO Report de SAGA, USA, volume 8, n ° 1, page 20, février 1980.
[ar1] * "1977 Human Reports", établi par Albert Rosales, vers 2001, à l'adresse suivante: www.ufoinfo.com/humanoid/humanoid1977.shtml
[ar1] * "Rencontres avec des étrangers ce jour-là - 6 janvier", page Web réalisée par Donald Johnson, vers 2005, à l'adresse suivante: www.ufoinfo.com/unhisday/janvier06.html
Historique des changements :
Création
Auteur principal : Patrick Gross
Contributeurs : Aucun
Réviseurs : Aucun
Éditeur : Patrick Gross
Historique des changements
Version : 0.1
Créé / modifié par : Patrick Gross
Date : 28 juin 2007
Description du changement : Création, [pj1], [yb1], [ar1].
Version : 1.0
Créé / modifié par : Patrick Gross
Date : 28 juin 2007
Description du changement : Première publication.
F I N .
Florida Malboeuf, 6 Jan. 1977, Montréal, Québec, Canada.
URECAT - Catalogue d'entités apparentées UFO
URECAT est un catalogue officiel de rapports d'observations d'entités liées à des UFO dans le but de fournir des informations de qualité pour des études précises sur le sujet. Des informations supplémentaires, des corrections et des critiques sont les bienvenues à patrick.gross@inbox.com, veuillez indiquer si vous souhaitez être crédité pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.
Bref résumé de l'événement et suivi :
Au moins un journal et des ufologues de la région ont rapporté que Mme Florida Malboeuf, âgée de 58 ans, du 6420 rue Casgrain, à Montréal, était profondément traumatisée par son observation du 6 janvier 1977.
Plutôt insomniaque à cause d'une affection bronchique, vers 23 h 30, Mme Florida Malboeuf s'est assise à sa fenêtre. Elle aperçut soudain une sorte de "grande assiette" ou de "grande huître", de 15 pieds de diamètre, dérivant dans le ciel comme si elle venait vers elle, un appareil gris argenté muni de phares blancs à sa base, qui l'éblouirent presque. , elle a ensuite été cachée par le toit de l’immeuble de 3 étages en face du 6399 rue Casgrain, au coin de Burelle, puis atterri sur ce toit à 60 mètres seulement d’elle.
Elle se frotta les yeux et se pinça pour s'assurer qu'elle ne rêvait pas, et elle dut accepter le fait que ce qu'elle avait vu était réel.
Elle a ensuite vu venir sur le toit, deux êtres étranges et minces, mesurant 6 pieds et 5 pouces, sortant, vêtus d'un costume pâle, sans ceinture et très serrés. Ces "êtres de l'espace" ne lui semblaient pas peser plus de 25 kilos chacun, leur marche semblant très facile.
Les êtres ont avancé vers le bord du toit, ont regardé dans la rue, puis vers le ciel. Puis ils se sont retirés et quelques secondes plus tard, l'engin s'est élevé et est à nouveau entré dans son champ de vision, pour dériver lentement vers le sud, comme s'il se dirigeait vers la rue Bellechasse. L'ensemble, de l'atterrissage au décollage, n'a pas duré une minute.
Secouée, Mme Malboeuf se recoucha mais avait du mal à s'endormir. Ce n'était pas avant 18h00 le lendemain, elle a raconté cette observation à son fils André, 24 ans. Malgré tout inquiète d'avoir été victime d'une farce, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police.
À en juger par l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle avait dû vivre une expérience très traumatisante. Il s'est immédiatement mis en route pour enquêter, d'abord en consultant des voisins, dont aucun n'avait rien vu de particulier ou entendu hors de l'ordinaire la nuit précédente. Il lui sembla que le toit du bâtiment vacant de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'avait d'autre choix que de grimper une issue de secours et de traverser un gouffre large de deux mètres de large en utilisant une échelle comme pont de fortune.
Quand il atteignit le toit, il fut surpris par ce qu'il vit. Une couche de glace circulaire de 20 pieds de large recouvrait une fine couche de neige. Il était évident qu'une certaine forme de chaleur avait fait fondre la neige et que le cercle s'était ensuite gelé. Cette nappe de glace était entourée de deux plus petites plaques de glace de forme ovale situées à quelques pieds de distance, vraisemblablement créées par la même source de chaleur. Les plus petites couches de glace semblaient être plates, tandis que la plus grande était visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
André a immédiatement appelé le Journal de Montréal pour signaler ce qui s’était passé et a averti le contrôle de la circulation aérienne de l’aéroport de Dorval, qui lui a annoncé que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux canadien et américain NORAD. Le contrôleur du trafic aérien de Dorval l'informa également que trois autres personnes l'avaient appelée pour signaler un OVNI dérivant au-dessus de la station de métro Rosemont à proximité, peu de temps après l'observation de sa mère.
Le lendemain, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interrogé Mme Malboeuf et a photographié le site d'atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police de la communauté urbaine de Montréal et deux de leurs agents sont venus peu de temps après et ont interrogé Mme Malboeuf et ont mené une enquête qu'ils ont spécifiée comme étant non officielle et personnelle.
Après la parution de l'article dans l'édition du dimanche du Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les enquêteurs sur les ovnis de la région se sont retrouvés sur le lieu de l'observation. Howard Gontovnick, ufologue de la région de Laval, a publié le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une bonne partie de la couche de glace était recouverte de neige, il a réussi à prendre plusieurs photos en couleur. Le lendemain, Marc Leduc d'OVNI-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une forte tempête de neige, il a été empêché d'inspecter le toit. Il est revenu mercredi soir avec Wido Hoville d'OVNI-Québec, Howard Gontovnick et Paul Dubeau, un autre des témoins d'OVNI de cette observation du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont engagés dans la périlleuse ascension vers le sommet du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprise. Quatre empreintes singulières, prenant naissance au centre de la masse de glace et pointant vers le bord du toit, ont été découvertes. Bien que ces empreintes ressemblent aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles ne ressemblaient à aucun des hommes jamais vus auparavant. Ils mesuraient seulement six pouces de long et seulement 1,7 pouce de large, à l'exclusion du fait qu'ils avaient été fabriqués par un adulte. En raison de l'extrême difficulté d'atteindre le toit et de la largeur étroite des impressions, la possibilité qu'elles appartiennent à un enfant a également été exclue. Contrairement à la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces empreintes était nettement exagérée vers l'intérieur.
Le lien entre les étranges traces de pas et ce qui avait fait fondre la neige de manière circulaire était évident. Les empreintes étaient incrustées dans la couche gelée, suggérant clairement qu'elles devaient avoir été produites alors que la surface était encore à l'état fondu. La configuration des glaces circulaires n’aurait pas pu être créée par des conditions météorologiques clémentes, car les dossiers du bureau météorologique de Dorval indiquaient que la température était restée bien en dessous du point de congélation pendant le mois précédant l’observation. La source de chaleur ne pouvait pas provenir du bâtiment situé au-dessous, car une fine couche de neige non fondue et non altérée a été observée sous la plaque de glace.
On a dit qu'à l'heure de l'observation, le chien d'une voisine de Mme Malboeuf s'est mis à hurler et que le propriétaire de l'animal était incapable de le calmer.
Mme Malboeuf a précisé qu'elle n'avait aucun intérêt antérieur pour les soucoupes volantes et qu'elle ne croyait pas du tout à leur existence. Elle a ajouté que l'événement l'avait tellement bouleversée qu'elle aurait bien mieux préféré ne jamais l'avoir vue.
Tableau d'informations de base :
Numéro de cas : URECAT-001605
Date de l'événement : 6 janvier 1977
Rapport d'événement le plus ancien : 15 janvier 1977
Délai de rapport : jours
Témoin rapporté via : Appelé la police sur les conseils de son fils.
Premier enregistrement présumé de : N / A.
Premier enregistrement certain de : Journal.
Premier type d'enregistrement supposé : N / A.
Premier type d'enregistrement : journal.
Ce fichier a été créé le : 28 juin 2007
Dernière mise à jour de ce fichier le : 28 juin 2007
Pays de l'événement : Canada
Etat / Département : Québec
Type de lieu : Centre-ville
Conditions d'éclairage : nuit
OVNI observé : Oui
Arrivée d'OVNI observée : Oui
Départ OVNI observé : Oui
Relation UFO / entité : Certain
Nombre de témoins : 1 plus indirect
Témoins : 58 ans
Types de témoins : Femme.
Photographie (s) : Non.
Témoins dessinant : Non.
Dessin approuvé par les témoins : Non.
Nombre d'entités : 2
Type d'entité : Humanoïde
Hauteur des entités : 1.60 mètres
Type de tenue d'entités : Une pièce moulante, pas de ceinture,
couvre-chef étanche.
Couleur de la tenue des entités : pâle.
Couleur de la peau des entités : Non rapporté.
Corps des entités : Mince.
Tête des entités : Non rapporté, sous couvre-chef serré.
Yeux des entités : Non visible.
Bouche des entités : Non visible.
Nez des entités : Non visible.
Pieds des entités : Non rapporté.
Bras des entités : Non rapporté.
Doigts des entités : Non rapporté.
Nombre de doigts des entités : Non visible.
Cheveux des entités : Aucun rapporté.
Voix d'entités : Aucune entendue.
Actions des entités : Est sorti d'OVNI, a regardé la rue, a regardé
le ciel, est rentré, départ.
Interactions entités / témoins : Aucune.
Témoins (s) réactions : Observées.
Témoins (s) des sentiments : Très surpris, choqué.
Interprétation de témoin (s) : Soucoupe volante et occupants.
Catégorie d'explication : Visiteurs extraterrestres.
Certitude d'explication : Moyenne.
Récits :
[Réf. pj1:] LE PETIT JOURNAL :
Mme Florida Malboeuf ne peut plus dormir !
Elle a vu une soucoupe volante et deux "Êtres de l'espace" sur le toit de la maison opposée.
Mme Florida Malboeuf, âgée de 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal, est profondément traumatisée. Vous seriez avec moins. En ce jeudi du 6 janvier dernier, plutôt insomniaque, Mme Malboeuf était assise à sa fenêtre. Il est 1 heure et 30 minutes du matin. Soudain, que voit-elle? Une sorte de grande assiette ou plutôt une grosse huître de 15 pieds de diamètre atterrissant sur le toit d'une des maisons opposées (plus précisément le 6399 de la rue Casgrain, angle Burelle).
Elle se frotte les yeux, se pince pour voir si elle rêve. Mais elle doit s'abandonner à la réalité: elle voit ce qu'elle voit. Et ce n'est pas tout. De cet appareil gris argenté muni de phares à sa base, de cette soucoupe volante (car il n’y a plus de doute qu’il en est un, Mme Malboeuf voit sortir deux êtres étranges de 6 pieds et 5 pouces, vêtus de costume, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l’espace" ne semblent pas peser plus de 25 kilos chacun, leur marche est si légère. Ils avancent vers le bord du toit, regardent dans la rue, puis vers le ciel. Ils remettent leur appareil en place et disparaissent au fur et à mesure qu'ils arrivent. Le tout, de l'atterrissage au décollage, ne dure pas une minute.
"Les soucoupes volantes ne m'intéressaient pas", a déclaré Mme Malboeuf. "Je n'y croyais même pas du tout. Cet événement m'a tellement bouleversé que j'aurais bien davantage préféré ne jamais avoir vu ça ..."
C'était cependant comme on dit, quelque chose d'étonnant. Il est entendu qu'à cette heure-là, le chien d'un voisin a commencé à hurler, le propriétaire de l'animal incapable de le calmer. Malgré tout inquiète d'avoir été victime d'un mauvais tour, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police. Ce n’est que quelques heures plus tard que son fils André, âgé de 25 ans, monte sur le toit de la maison qui reçoit cette visite étrange pour y avoir la surprise de sa vie: la découverte d’un cercle de 15 pieds de diamètre. neige et glace fondues. Mme Malboeuf s'est également rendue à Dorval où il a été admis qu'un objet étrange glissant d'ouest en est avait été aperçu cette nuit-là dans le ciel de Montréal à une vitesse approximative de 800 milles à l'heure. De plus, quatre ou cinq autres personnes ont fait appel à Dorval pour confirmer le phénomène.
[Réf. yb1:] YURKO BONDARCHUK :
Montréal-Jan. 6, 1977
Les observations d'OVNIS au-dessus de grands centres urbains sont considérées comme plutôt rares, car la grande majorité des incidents se produisent normalement dans des zones rurales et isolées. Les cas impliquant la présence d'occupants d'OVNI en milieu urbain sont encore plus rares.
Pour cette raison, l'apparition annoncée de deux passagers d'ovnis sur un toit du centre-ville de Montréal le 6 janvier 1977 doit être considérée comme unique et sans précédent. Ironiquement, cette observation a coïncidé avec la veille de Noël célébrée par des millions de chrétiens, conformément au vieux calendrier julien. Pour les enfants d’origine ukrainienne, il est de tradition de rechercher dans le ciel la première étoile du soir qui annonce l’ouverture des festivités de la veille de Noël. Mais pour Mme Florida Malboeuf de la rue Casgrain à Montréal, la lumière brillante dans le ciel s’est avérée être bien plus qu’un prélude à une tradition séculaire.
Vers cette heure du matin, Mme Malboeuf se leva de son lit, incapable de dormir à cause d’une affection bronchique. Regardant par la fenêtre, elle vit un objet étrange à la dérive au-dessus du toit de la maison de l'autre côté de la rue. À son grand étonnement, il semblait se diriger vers elle. Elle pouvait clairement voir qu'elle était en forme de dôme et ressemblait à une huître aplatie avec une chaîne de lumières brillantes autour de son bord qui la rendait presque aveugle. Elle a estimé que l'objet avait environ 20 pieds de large. Tandis qu'elle observait le vaisseau flamboyant planait au-dessus du bâtiment de trois étages en face, mais elle ne pouvait plus le voir de son point de vue situé au niveau de la rue car il avait été obscurci derrière la terrasse du toit.
Quelques secondes plus tard, deux personnages sont apparus au bord du toit. Même si leur façon de marcher n’avait rien d’inhabituel, elle savait instinctivement qu’ils n’étaient pas des humains! Ils semblaient être extrêmement grands, environ six pieds et demi. Ils étaient minces et avaient des bras et des jambes inhabituellement longs. Bien qu'elle ne puisse distinguer leurs traits, leur tête semblait être recouverte de «bonnets de bain» bien ajustés, semblables à ceux portés par les hommes-grenouilles. Le reste de leurs corps semblait couvert d'une tunique moulante blanche.
Apparemment inconscients de sa présence, les deux personnages ont observé la scène, regardant d'abord la rue en dessous et se dirigeant ensuite vers le ciel, comme s'ils cherchaient quelque chose. Leur comportement a semblé humain et après quelques minutes, ils se sont retirés. Quelques secondes plus tard, l'engin s'est élevé et est à nouveau apparu. Il s'éloigna lentement en direction du sud, comme s'il se dirigeait vers la rue Bellechasse.
Secouée, Mme Malboeuf se recoucha mais avait du mal à s'endormir. Ce n'est que vers six heures l'après-midi suivant qu'elle a décidé de raconter à son fils André, 24 ans, son aventure nocturne. À en juger par l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle avait dû vivre une expérience très traumatisante. Il s'est immédiatement mis en route pour enquêter, d'abord en consultant des voisins, dont aucun n'avait rien vu de particulier ou entendu hors de l'ordinaire la nuit précédente. Il lui sembla que le toit du bâtiment vacant de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'avait d'autre choix que de grimper une issue de secours et de traverser un gouffre large de six pieds, en utilisant une échelle comme pont de fortune. Quand il atteignit le toit, il fut surpris par ce qu'il vit. Une couche de glace circulaire de 20 pieds de large recouvrait une fine couche de neige. Il était évident qu'une certaine forme de chaleur avait fait fondre la neige et que le cercle s'était ensuite gelé. Cette nappe de glace était entourée de deux plus petites plaques de glace de forme ovale situées à quelques pieds de distance, vraisemblablement créées par la même source de chaleur. Les plus petites couches de glace semblaient être plates, tandis que la plus grande était visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
Excité par cette preuve d'un possible atterrissage d'OVNI, André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour signaler ce qui s'était passé. Il a également averti le contrôle de la circulation aérienne de l'aéroport de Dorval et a été informé que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux canadien et américain du NORAD, à North Bay, en Ontario, et à Colorado Springs, dans le Colorado. . Le contrôleur du trafic aérien de Dorval l'a également informé que trois autres personnes l'avaient appelée pour signaler ce qui était vraisemblablement le même OVNI dérivant au-dessus de la station de métro Rosemont à proximité, peu de temps après l'observation de Mme Malboeuf. La révélation que ces observations seraient transmises aux plus hauts responsables de la défense tend à confirmer que, contrairement à de nombreuses dénégations officielles, les autorités militaires canadiennes, en collaboration avec les agences américaines, continuent de participer activement à la surveillance des observations d'OVNIS.
Le lendemain, un samedi, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interrogé Mme Malboeuf et a photographié le site d'atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police de la communauté urbaine de Montréal et deux de leurs agents sont arrivés peu de temps après pour interroger Mme Malboeuf et mener une enquête périphérique qu'ils ont décrite comme "non officielle et personnelle".
Après la parution de l'article dans l'édition du dimanche du Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les enquêteurs sur les ovnis de la région se sont retrouvés sur le lieu de l'observation. Howard Gontovnick, ufologue de la région de Laval, a publié le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une bonne partie de la couche de glace était recouverte de neige, il a réussi à prendre plusieurs photos en couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc d'OVNI-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une tempête de neige sévère, il n'a pas pu inspecter le toit. Il est revenu mercredi soir, accompagné de Wido Hoville d'OVNI-Québec, Howard Gontovnick et Paul Dubeau, un autre des témoins d'OVNI du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont engagés dans la périlleuse ascension vers le sommet du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprise. On pouvait voir quatre empreintes particulières, prenant naissance au centre de la masse de glace et pointant vers le bord du toit. Bien que ces empreintes ressemblent aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles ne ressemblaient en rien à celles que les hommes avaient vues auparavant. D'une part, ils mesuraient seulement six pouces de long et seulement 1,7 pouce de large, excluant ainsi la probabilité qu'ils aient été fabriqués par un adulte. De plus, en raison de l'extrême difficulté d'atteindre le toit et de la largeur étroite des impressions, la possibilité qu'elles appartiennent à un enfant pourrait être exclue. Contrairement à la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces empreintes était nettement exagérée vers l'intérieur.
La connexion entre les traces de pas étranges et ce qui a causé la neige dans la fonte en motifs circulaires est indéniable. Les impressions incrustées dans la couche gelée suggèrent qu'elles ont été produites alors que la surface était encore à l'état fondu. Qu'est-ce qui a fait fondre la neige? Les configurations circulaires de glace pourraient être créées par des conditions météorologiques douces. Selon les archives du bureau météorologique de Dorval, la température est tombée en dessous du seuil. Le "choc" nocturne de Malboeuf Une autre possibilité était que la source de chaleur soit originaire du bâtiment. Cependant, la fine couche de neige non fondue sous la banquise est définitivement exclue de cette théorie.
Il est donc clair que les surfaces de glace doivent avoir été produites par une source de chaleur externe. Le fait qu'aucune empreinte de train d'atterrissage n'ait été trouvée dans les pièces circulaires de l'article indiquait que l'engin n'avait pas été couvert. D'après l'emplacement des empreintes de pas, il semblerait que les occupants soient descendus du dessous de l'embarcation et se soient dirigés vers le toit.
En dernière analyse, j'estime que nous pouvons également éliminer la possibilité d'un canular. Pour reproduire les cercles, le canular aurait dû faire appel à un engin silencieux capable de produire une émission de chaleur uniforme de 20 pieds de largeur. À ma connaissance, un tel outil n'existe pas. En ce qui concerne les empreintes de pas, le filou aurait dû engager un enfant de six ans avec une grave boîte de chaussures. Il aurait passé un bon moment dans sa vie alors qu'il se produisait sur le toit de l'immeuble pendant que le "vaisseau miracle" exécutait un tour "instantané de l'été". Et pour terminer le scénario, il aurait fallu convaincre Mme Malboeuf de faire connaître l'histoire fabriquée. Sans gain financier apparent ni publicité pour un parti, la théorie du canular devient d'autant plus ridicule.
En fin de compte, il nous reste des preuves matérielles pour confirmer l'affirmation de Mme Malboeuf selon laquelle deux humanoïdes ont débarqué d'un engin sphérique en vol stationnaire sur le toit de la maison vacante de l'autre côté de la rue.
[Réf. ar1:] ALBERT ROSALES :
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Montréal, Québec, Canada, le 6 janvier 1977 à 01h15, Mme Florida Malboeuf, âgée d'environ 50 ans, était assise à sa fenêtre de la rue Casgrain lorsqu'elle a aperçu une huître en forme de objet métallique à fond, avec une rangée de lumières blanches autour de sa base, arrive du nord et atterrit sur le toit d'un immeuble de trois étages situé de l'autre côté de la rue, à environ 60 pieds d'elle.
Immédiatement, deux personnages sont apparus sur le toit. Ils étaient très grands et minces (plus de 6 pieds), avec de longs bras, vêtus de vêtements blancs en un seul morceau, la tête couverte de "casques de bain" serrés. Ils regardaient la rue, puis le ciel, puis ils sont apparemment revenus à l'objet. Le moment après leur disparition, l’objet est monté du toit d’environ 20 pieds et est parti à l’est.
Son fils André est allé sur le toit en question et a trouvé sur le dessus de la glace et de la neige une large croûte de glace de forme elliptique de 4/5 po d'épaisseur et d'environ 18 pieds de diamètre, manifestement formée par la fonte locale de la neige. Sur cette plaque, quatre empreintes de pas étroits et d'une longueur de seulement 6,5 po étaient en relief sur la plaque et se dirigeaient vers la façade du bâtiment.
Albert Rosales indique que la source est Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Quebec.
[Réf. dj1:] DONALD JOHNSON :
Donald Johnson indique que le 6 janvier 1977 à 1 h 15, Mme Florida Malboeuf, âgée d'environ 50 ans, était assise à sa fenêtre de la rue Casgrain, à Montréal, au Québec, lorsqu'elle a vu une huître en forme de objet métallique à fond avec une rangée de lumières blanches autour de sa base. Elle est venue du nord par avion et a atterri sur le toit d'un immeuble de trois étages situé en face de la rue, à seulement dix mètres de distance.
Immédiatement, deux personnages sont apparus sur le toit, ils avaient plus de six pieds de hauteur et étaient minces, ils portaient de longs bras et ils portaient des uniformes blancs d'une seule pièce avec la tête recouverte de «casques de bain serrés». Ils regardaient la rue, puis le ciel, puis ils sont apparemment retournés à l'objet.
Un instant plus tard, ils ont disparu et l'OVNI s'est élevé du toit à environ 20 pieds, puis s'est envolé vers l'est.
Son fils André se dirigea vers le toit en question et y trouva une large croûte de glace de forme elliptique, de 0,8 pouce d'épaisseur et d'environ 18 pieds de diamètre, qui se trouvait au sommet de la neige, manifestement formée par la fonte locale de la neige. En relief sur cette plaque et en direction de la façade du bâtiment, il y avait quatre petites empreintes de pas étroites de seulement 6,5 pouces de long.
Donald Johnson indique que la source est David F. Webb et Ted Bloecher, HUMCAT: catalogue de rapports d'humanoïdes, cas 1977-01, citant Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Québec.
Points à considérer :
Bien que les données qui ont survécu au fil du temps soient rares, je ne vois aucune raison de suspecter une quelconque fraude ou astuce pour l'exécuter, et je ne vois aucune cause ordinaire pour le rapport.
Liste de problèmes :
Id : 1
Sujet : Data
Gravité : Sévère
Date notée : 28 juin 2007
Elevée par : Patrick Gross
Notée par : Patrick Gross
Description : Manquant le rapport de UFO Quebec.
Proposition : Besoin d'aide.
Statut : Ouvert.
Id : 2
Sujet : Data
Gravité : Moyenne
Date notée : 28 juin 2007
Elevée par : Patrick Gross
Notée par : Patrick Gross
Description : Données manquantes dans certains journaux.
Proposition : Besoin d'aide.
Statut : Ouvert.
Évaluation :
Visiteurs extraterrestres.
Références de sources :
* = Source j'ai vérifié.
? = La source me parle mais ne peut pas encore vérifier. Aide appréciée.
[---]? Article dans le journal Le Journal, Montréal, Canada, janvier 1977.
[---]? Article dans le journal The Sunday Times, Montréal, Canada, janvier 1977.
[pj1] * Article dans le journal hebdomadaire Le Petit journal, Montréal, Canada, 51ème année, numéro 11, semaine du 15 au 21 janvier 1977.
[---]? Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Québec.
[---]? "HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports", affaire 1977-01, compilée par David F. Webb et Ted Bloecher, États-Unis, vers 1978.
[yb1] * "Occupants exotiques: 5 comptes surprenants", article de Yurko Bondarchuk, dans UFO Report de SAGA, USA, volume 8, n ° 1, page 20, février 1980.
[ar1] * "1977 Human Reports", établi par Albert Rosales, vers 2001, à l'adresse suivante: www.ufoinfo.com/humanoid/humanoid1977.shtml
[ar1] * "Rencontres avec des étrangers ce jour-là - 6 janvier", page Web réalisée par Donald Johnson, vers 2005, à l'adresse suivante: www.ufoinfo.com/unhisday/janvier06.html
Historique des changements :
Création
Auteur principal : Patrick Gross
Contributeurs : Aucun
Réviseurs : Aucun
Éditeur : Patrick Gross
Historique des changements
Version : 0.1
Créé / modifié par : Patrick Gross
Date : 28 juin 2007
Description du changement : Création, [pj1], [yb1], [ar1].
Version : 1.0
Créé / modifié par : Patrick Gross
Date : 28 juin 2007
Description du changement : Première publication.
F I N .