Post by Andrei Tchentchik on Aug 19, 2020 15:39:31 GMT 2
(#473).- Le Dr.Wellaide Cecim de Colares 1977, parle, par Patrik Gross.
Le Dr.Wellaide Cecim de Colares 1977, parle, par Patrik Gross.
8 février 2005.
UFO Magazine Brésil rapporte :
Un Médecin Forcé à Mentir à propos des OVNIS par l'Armée de l'Air Brésilienne
Wellaide Cecim, médecin travaillant pendant les années 70 dans une unité de santé au village de Colares, état du Para, Brésil, admet qu'elle a été forcée par des militaires de mentir au sujet du sérieux du phénomène sur le sérieux des phénomènes "Chupa-chupa."
Article par Carlos Mendes.
Introduction
"J'ai été sommée par l'Armée de l'Air Brésilienne de convaincre les gens du coin que les lumières qui les les attaquaient étaient des hallucinations de masse et que ce qu'ils ont vu ne s'est jamais produit." La personne qui dit ceci, après lecture du matériel publié le journal O Liberal au sujet des phenomènes "Chupa-chupa," ces épisodes étrange qui ont terrifié beaucoup de village à Colares, Vigia, Santo Antonio do Taua, Mosqueiro et Baia à la fin de 1977 et au début de 1978, est Wellaide Cecim Carvalho. Elle était la responsable d'une unité de soins à Colares à ce moment-là. Elle a traité environ 80 victimes des lumières mystérieuses. "J'étais la première a être en contact avec les victimes des phénomènes Chupa-chupa. Malgré mes 22 ans à ce moment-là et le fait d'avoir été complètement sceptique, j'ai commencé à noter des changements que la médecine n'arrivait pas à expliquer. Les brûlures sur la peau des victimes étaient presque toujours sur le cou et le sein, avec deux trous petits et contigus, comme si c'était une petite morsure, mais ce n'en était pas une."
Docteur de la santé et psychiatrie publique, Wellaide Cecim dit qu'après 60 jours à enregistrer quotidiennement ces cas, qui se montent à plus de 120 cas, elle a commencé à en faire rapport à ses supérieurs. Mais elle n'était pas préparée à leur réaction: on lui a interdit d'admettre que quelque chose d’étrange se passait. "Mais, étant fidèle à ce que je vois de mes yeux, et non pas à ce que j'entends, j'ai continué à parler. Malgré le risque de perdre mon emploi." L'interview qu'elle a donnée à Carlos Mendes, un journaliste du O Liberal, publié par UFO Magazine Brésil et ajouté à sa campagne pour la liberté d'accès aux informations sur les OVNIS.
Interview
Question — Les autorités n'ont pas vu les phénomènes, mais même s'ils les voient ils ne veulent pas y croire...
Wellaide — Ils ne m'ont pas même rendu une visite. J'ai dû découvrir tous les érythrocytes perdus par les victimes par moi-même. J'ai toujours essayé de faire de mon mieux dans mon travail, depuis cette époque. J'ai noté que les victimes avaient perdu du sang en raison des recherches que j'ai faites pour découvrir pourquoi ces personnes avaient des faiblesses, de la lenteur, et pouvaient à peine marcher. J'ai envoyé plusieurs rapports au ministre de la santé.
Question — Et qui était le ministre de la santé?
Wellaide — Le docteur Manoel Ayres. Mon supérieur immédiat était le docteur Luiz Flavio Figueiredo. Il m'a interdit de parler, de faire des suggestions ou même d'être d'accord avec les gens su coin. Mais, vous n'avez pas besoin de connaissance médicale pour comprendre. La nécrose se produit seulement 96 heures après une brûlure. Les victimes brûlées ont eu une nécrose immédiatement, juste cinq minutes après l'attaque.
Question — Comment expliquez-vous cela ?
Wellaide — C'est comme ça que tout commence: ils (les pilotes de ces objets volant) ne pouvaient pas être les Russes parce que, quelle que soit leur technologie à ce moment-là, personne ne pourrait faire des brûlures de cette façon.
Question — En tant que psychiatre, croyez-vous que ces personnes pourraient être des victimes d'une hystérie de masse?
Wellaide — C'est ce que l'Armée de l'Air m'a toujours demandé de dire. Il ne s'est pas produit la moindre hystérie de masse ou hallucinations visuelles. La psychiatrie prouve que ne s'est pas produit. Il peut y avoir des problèmes de conduite collective insensée, quand les gens commettent des suicides en masse. Mais personne ne peut avoir le même delirium, la même hallucination visuelle, sonique et synesthétique au même moment et en des lieux différents.
Question — Qui a demandé à l'Armée de l'Air d'étudier le cas?
Wellaide — D'abord personne n'aidait, bien au contraire, ils m'ont dit de me taire, le maire de Colares à ce moment-là, M. Alfredo Ribeiro Bastos, a appelé l'Armée de l'Air brésilienne. Et est venu, de Parana, le président de la société d'Ufologie de cet état, le philosophe, ufologue et spécialiste du biomédical Daniel Rebisso Giese. Nous avons écrit le premier livre à ce sujet: "vampires et extraterrestres en Amazonie." Le prêtre de Colares et également un docteur, Alfredo de la O, maintenant décédé, avaient également réclamé de l'aide.
Question — Et qu'est-ce qui vous a blessé le plus?
Wellaide — C'était le fait que, avec mes 22 ans, responsable d'une unité de santé, j'ai eu un bon nombre de gens devant moi ayant besoin de recherches pour découvrir pourquoi ils avaient été immobilisés. Pourquoi ils ne pouvaient ni marcher ni parler. Et quand j'ai regardé l'hémogramme pour comparer les derniers dossiers, j'ai appris qu'ils avaient des taux très bas d'érythrocytes et d'hémoglobine. Le fait est, aucun objet n'amène une nécrose de la peau tellement rapidement après une brûlure. Un troisième facteur est l'alopécie, la chute des poils de la peau, de telle manière qu'ils n'ont plus jamais repoussé. Les victimes n'ont jamais eu de nouveau de poils sur la peau brûlée.
Question — Et quand l'Armée de l'Air est-elle apparue?
Wellaide — 90 jours après nos demandes. Quand Colares était vide et effrayée, ils sont venues. En raison de la dictature nous étions soumis, ils avaient l'habitude de m'appeler chaque jour pour me demander de parler au gens, d'essayer de les convaincre qu'ils avaient une hallucination de masse, mais j'ai toujours refusé.
Question — Sous toute cette pression des militaires, qu'avez-vous fait?
Wellaide — J'ai refusé de le faire. Je leur ai toujours dit que je n'obéirais pas. Je suis en désaccord avec eux quand ils disent que j'avais peur d'être considérée comme un imbécile. Ce n'est pas mon souci. J'ai donné des interviews à plusieurs TV du Brésil, aux USA et en Europe, même avec le risque d'être démise de mon emploi. Bien que je sois une sceptique, je suis totalement sûr de ce que j'ai vu. Je ne sais pas ce que c'est, mais sais que c'est réel.
Question — Est-ce que vous aussi, comme le capitaine Uyrange Hollanda, commandant les recherches, avez vu des êtres de l'espace?
Wellaide — Oui je les ai vu. Il était 17 heures de l'après-midi à Colares. Il y avait un vaisseau à 50 mètres d'altitude, au-dessus de la rue principale de la ville. À l'intérieur de de ce vaisseau, il y avait un être, de 1 m 20 ou 1 m 30 de haut. Ceci s'est produit quand je conduisais pour aider un enfant ayant la clavicule cassée, j'allais l'immobiliser. Ils volaient tellement bas que je ne pouvais pas du tout réagir. Je pouvais voir que le métal brillant de l'OVNI qui n'était pas un objet plat comme un disque, mais beaucoup plus comme un cône ou un cylindre. Son trajet était elliptique. A 5 heures de l'après-midi vos yeux ne peuvent pas vous jouer des tours. Vous pouvez avoir des visions, avoir des hallucinations, mais, comme moi, beaucoup d'autres alors doivent en avoir.
Question — quelqu'un est-il mort après avoir été sucé par les lumières?
Wellaide — Deux personnes que j'ai emmenées à l'hôpital dans la capitale, Belém, sont décédées. Je les ai prises dans ma voiture. Et quand ils m'ont donné le certificat de décès, j'ai pu lire "raison inconnue." Les victimes avaient eu les brûlures, les petits trous, l'examen. Je veux dire, il est très facile de cacher des choses dans ce pays.
Quelques cas étonnants
L'Opération Soucoupe a rassemblé des rapports des gens qui ont vu les lumières. Des pêcheurs, des paysans, des gens simples et ordinaires frappés par les lumières ont été interviewés par le personnel de la force aérienne brésilienne entre novembre de 1977 et le début de 1978. Ce qu'ils ont déclaré est écrit dans un rapport appelé Opération Soucoupe. Le document de la force aérienne signé par le capitaine Uyrange Hollanda a été obtenu par le journal O Liberal. Plus de 230 pages du rapport principal de l'Opération Soucoupe ont été entièrement scannées et sont publiées sur le site web de UFO Magazine Brésil.
Cas 1 — Adelaïde Pereira Da Silva, 37 ans, illettré. Endroit: Colares, le 16 octobre 1977, 21:00. Elle a remarqué une lumière rougeâtre éclairant sa pièce et tout l'intérieur de sa maison. Toutes les portes et fenêtres étaient fermées, alors elle a ouvert une fenêtre et a vu un objet lumineux avec une lumière bleuâtre se déplaçant légèrement au-dessus des arbres (environ 30 mètres). Elle a senti une forte douleur dans les yeux et son corps est devenu engourdis. Elle a supporté ces symptômes pendant plusieurs jours.
Cas 2 — Maria Celeste Pereira Da Silva, 20 ans, instruite. Son observation d'OVNIS s'est produite le 18 octobre 1977 à 22:00. Au même moment que sa mère Adelaïde, elle a remarqué une lumière étrange à l'intérieur de sa maison, elle a senti une grande douleur partout son corps, comme si elle était fortement comprimée. Une sensation d'engourdissement a également commencé à monter dans son corps en venant à partir des pieds et une chaleur forte est apparue, s'étalant de l'épaule droite jusqu'à la tête. Elle pense qu'elle a été frappée au côté droit du corps par un faisceau de lumière rougeâtre.
Cas 3 — Maria Francisca Furtado, 30 ans, éducation d'école primaire seulement. Elle a raconté ce qui s'est produite la nuit du 18 octobre de 1977, environ 21:30. Elle vit près d'un village appelé Vila Nova do Ubintuba. Pendant que les attaques devenaient plus courantes, elle et son mari avaient l'habitude de venir chaque nuit à la maison de M. Miguel Arcângelo Soares afin de dormir ensemble à plusieurs familles. Ce jour, elle a été frappée par le faisceau lumineux et s'est retrouvée à demi paralysée. Elle a senti une sorte de décharge électrique. D'abord, ses pieds sont devenus chauds et un frisson a envahi son corps, des pieds jusqu'à la tête. Elle a senti que la partie droite de son corps est devenue engourdie et cette sensation a perdurée pendant une heure. Ensuite sont venus le mal de tête et la fièvre. Elle n'est pas sortie de la maison, elle n'a donc pas pu voir de "vaisseau." Les hommes et les femmes ont les mêmes symptômes après avoir vu l'objet.
Cas 4 — Un fermier du nom d'Abel Soares Trindade, 28 ans, était à l'intérieur de sa maison écoutant la radio quand quelque chose s'est produite. Il était environ neuf heures et demie dans la nuit du 14 septembre 1977, quand il a remarqué une lumière bleuâtre venant du toit. Il a été a demi paralysé et a eu une sensation comme si sa tête enflait. Il a lutté pour crier pour de l'aide, car il pouvait à peine parler. Pendant plusieurs jours après l'attaque, il a eu un mal de tête et une voix rauque. Son épouse, Amérique Silva Soares, 23 ans, a eu les mêmes symptômes.
Cas 5 — Un autre rapport est venu de Raimundo Nonato Barbosa, 48 ans. Il a dit que quand il revenait à sa maison par les bois, tandis qu'il a dépassé la maison d'un ami, il s'est soudainement senti comme si il avait perdu ses forces. Les chaussures qu'il portait à la main sont tombées à terre. Il les a prises et a continué la marche. Les chaussures sont encore tombées à terre. Quand il s'est abaissé pour les prendre à nouveau, il a pu voir un objet lumineux, avec une forme ronde comme une raie [le poisson], juste au-dessus de son épaule. Il avait environ 1,50 mètres et s'est déplacé à très basse altitude, à environ cinq ou dix mètres au-dessus de la terre. L'objet émettait un faisceau lumineux, comme une lampe flash, très fortement colorée en bleuâtre, vers lui. Très effrayé, Raimundo a rassemblé ses forces et couru à la maison de son ami, criant pour appeler à l'aide.
Au milieu de son chemin, en regardant en arrière, il a remarqué que l'objet montait dans le ciel, entre les arbres, laissant des étincelles lumineuses et multicolores derrière lui. Il s'est plaint de tremblements, du mal de tête et d'engourdissement sur la région du corps frappé par le faisceau lumineux. On n'a pas noté de symptômes de brûlure. Il a montré comment était l'objet en dessinant sur le sol. Il a représenté les étincelles lumineuses en utilisant trois lignes verticales avec environ 20 degrés entre elles. Il a tracé de petits cercles reliés à ces lignes et dit ils qu'ils étaient des lumières de plusieurs couleurs. Il n'a pas pu refaire le dessin sur du papier.
Cas 6 — Cinq pêcheurs ont dit aux militaires qu'ils avaient pu voir deux êtres à l'intérieur d'un vaisseau. Une rencontre de premier type avec cinq pêcheurs de Colares et un vaisseau avec des êtres extraterrestres à l'intérieur aurait eu lieu le 12 octobre, 1977, à 23:30. Dans le rapport, pendant l'Opération Soucoupe, le fermier Manoel Espírito Santo, 20 ans, éducation d'école primaire, a dit aux militaires ce qui s'est passé. Il a dit qu'il était devant sa maison avec ses amis, Julio, Paulo, Deca et Carlito, quand il a remarqué une lumière jaune se déplaçant dans la direction du lever du soleil. Il a ralenti, s'arrêtant presque sur eux, à environ 20 mètres de distance. Manoel a indiqué qu'il a pu voir que la lumière avait deux "pilotes." Ils ont semblé être humains. "L'homme" était sur le côté gauche et la "femme" sur le côté droit.
Tous les deux portaient quelque chose de semblable à des lunettes sur leurs yeux et avaient du matériel de transmission. L'homme du côté gauche a levé ses lunettes, comme pour les regarder, et ce moment même l'autre pilote, à l'aide d'un tube latéral, leur a envoyé un faisceau de lumière rouge. Au moment où il a été frappé par la lumière, Manoel a senti un choc fort, comme si c'était une décharge électrique. La sensation a commencé sur les pieds et est montée à sa tête. Alors il s'est retrouvé avec ses jambes et bras paralysés et a presque perdu conscience. Le vaisseau est parti lentement, accélérant. Manoel a pu se déplacer à nouveau, mais il a continué à se sentir engourdi pendant plusieurs minutes. Vu de loin, le vaisseau a ressemblé à une étoile coloré en rouge-jaune. Il a changé sa couleur du jaune lumineux au rouge et, quand il était plus étroit, il avait pu voir une lumière bleuâtre sur la partie supérieure frontale. Il était en forme de cylindre, comme un baril, et avait un petit tuyau frontal, de couleur rougeâtre, et un tuyau plus mince sur son flanc, 45 degrés d'écartement, d'où venait la lumière bleuâtre. Il avait environ 1,20 à 1,40 mètres, a semblé transparent sur la partie bleuâtre et avait une séparation entre les pilotes.
Source :
"Brazilian Physician Compelled To Lie About UFOs", article par Carlos Mendes, février 2005.
A suivre...
Le Dr.Wellaide Cecim de Colares 1977, parle, par Patrik Gross.
8 février 2005.
UFO Magazine Brésil rapporte :
Un Médecin Forcé à Mentir à propos des OVNIS par l'Armée de l'Air Brésilienne
Wellaide Cecim, médecin travaillant pendant les années 70 dans une unité de santé au village de Colares, état du Para, Brésil, admet qu'elle a été forcée par des militaires de mentir au sujet du sérieux du phénomène sur le sérieux des phénomènes "Chupa-chupa."
Article par Carlos Mendes.
Introduction
"J'ai été sommée par l'Armée de l'Air Brésilienne de convaincre les gens du coin que les lumières qui les les attaquaient étaient des hallucinations de masse et que ce qu'ils ont vu ne s'est jamais produit." La personne qui dit ceci, après lecture du matériel publié le journal O Liberal au sujet des phenomènes "Chupa-chupa," ces épisodes étrange qui ont terrifié beaucoup de village à Colares, Vigia, Santo Antonio do Taua, Mosqueiro et Baia à la fin de 1977 et au début de 1978, est Wellaide Cecim Carvalho. Elle était la responsable d'une unité de soins à Colares à ce moment-là. Elle a traité environ 80 victimes des lumières mystérieuses. "J'étais la première a être en contact avec les victimes des phénomènes Chupa-chupa. Malgré mes 22 ans à ce moment-là et le fait d'avoir été complètement sceptique, j'ai commencé à noter des changements que la médecine n'arrivait pas à expliquer. Les brûlures sur la peau des victimes étaient presque toujours sur le cou et le sein, avec deux trous petits et contigus, comme si c'était une petite morsure, mais ce n'en était pas une."
Docteur de la santé et psychiatrie publique, Wellaide Cecim dit qu'après 60 jours à enregistrer quotidiennement ces cas, qui se montent à plus de 120 cas, elle a commencé à en faire rapport à ses supérieurs. Mais elle n'était pas préparée à leur réaction: on lui a interdit d'admettre que quelque chose d’étrange se passait. "Mais, étant fidèle à ce que je vois de mes yeux, et non pas à ce que j'entends, j'ai continué à parler. Malgré le risque de perdre mon emploi." L'interview qu'elle a donnée à Carlos Mendes, un journaliste du O Liberal, publié par UFO Magazine Brésil et ajouté à sa campagne pour la liberté d'accès aux informations sur les OVNIS.
Interview
Question — Les autorités n'ont pas vu les phénomènes, mais même s'ils les voient ils ne veulent pas y croire...
Wellaide — Ils ne m'ont pas même rendu une visite. J'ai dû découvrir tous les érythrocytes perdus par les victimes par moi-même. J'ai toujours essayé de faire de mon mieux dans mon travail, depuis cette époque. J'ai noté que les victimes avaient perdu du sang en raison des recherches que j'ai faites pour découvrir pourquoi ces personnes avaient des faiblesses, de la lenteur, et pouvaient à peine marcher. J'ai envoyé plusieurs rapports au ministre de la santé.
Question — Et qui était le ministre de la santé?
Wellaide — Le docteur Manoel Ayres. Mon supérieur immédiat était le docteur Luiz Flavio Figueiredo. Il m'a interdit de parler, de faire des suggestions ou même d'être d'accord avec les gens su coin. Mais, vous n'avez pas besoin de connaissance médicale pour comprendre. La nécrose se produit seulement 96 heures après une brûlure. Les victimes brûlées ont eu une nécrose immédiatement, juste cinq minutes après l'attaque.
Question — Comment expliquez-vous cela ?
Wellaide — C'est comme ça que tout commence: ils (les pilotes de ces objets volant) ne pouvaient pas être les Russes parce que, quelle que soit leur technologie à ce moment-là, personne ne pourrait faire des brûlures de cette façon.
Question — En tant que psychiatre, croyez-vous que ces personnes pourraient être des victimes d'une hystérie de masse?
Wellaide — C'est ce que l'Armée de l'Air m'a toujours demandé de dire. Il ne s'est pas produit la moindre hystérie de masse ou hallucinations visuelles. La psychiatrie prouve que ne s'est pas produit. Il peut y avoir des problèmes de conduite collective insensée, quand les gens commettent des suicides en masse. Mais personne ne peut avoir le même delirium, la même hallucination visuelle, sonique et synesthétique au même moment et en des lieux différents.
Question — Qui a demandé à l'Armée de l'Air d'étudier le cas?
Wellaide — D'abord personne n'aidait, bien au contraire, ils m'ont dit de me taire, le maire de Colares à ce moment-là, M. Alfredo Ribeiro Bastos, a appelé l'Armée de l'Air brésilienne. Et est venu, de Parana, le président de la société d'Ufologie de cet état, le philosophe, ufologue et spécialiste du biomédical Daniel Rebisso Giese. Nous avons écrit le premier livre à ce sujet: "vampires et extraterrestres en Amazonie." Le prêtre de Colares et également un docteur, Alfredo de la O, maintenant décédé, avaient également réclamé de l'aide.
Question — Et qu'est-ce qui vous a blessé le plus?
Wellaide — C'était le fait que, avec mes 22 ans, responsable d'une unité de santé, j'ai eu un bon nombre de gens devant moi ayant besoin de recherches pour découvrir pourquoi ils avaient été immobilisés. Pourquoi ils ne pouvaient ni marcher ni parler. Et quand j'ai regardé l'hémogramme pour comparer les derniers dossiers, j'ai appris qu'ils avaient des taux très bas d'érythrocytes et d'hémoglobine. Le fait est, aucun objet n'amène une nécrose de la peau tellement rapidement après une brûlure. Un troisième facteur est l'alopécie, la chute des poils de la peau, de telle manière qu'ils n'ont plus jamais repoussé. Les victimes n'ont jamais eu de nouveau de poils sur la peau brûlée.
Question — Et quand l'Armée de l'Air est-elle apparue?
Wellaide — 90 jours après nos demandes. Quand Colares était vide et effrayée, ils sont venues. En raison de la dictature nous étions soumis, ils avaient l'habitude de m'appeler chaque jour pour me demander de parler au gens, d'essayer de les convaincre qu'ils avaient une hallucination de masse, mais j'ai toujours refusé.
Question — Sous toute cette pression des militaires, qu'avez-vous fait?
Wellaide — J'ai refusé de le faire. Je leur ai toujours dit que je n'obéirais pas. Je suis en désaccord avec eux quand ils disent que j'avais peur d'être considérée comme un imbécile. Ce n'est pas mon souci. J'ai donné des interviews à plusieurs TV du Brésil, aux USA et en Europe, même avec le risque d'être démise de mon emploi. Bien que je sois une sceptique, je suis totalement sûr de ce que j'ai vu. Je ne sais pas ce que c'est, mais sais que c'est réel.
Question — Est-ce que vous aussi, comme le capitaine Uyrange Hollanda, commandant les recherches, avez vu des êtres de l'espace?
Wellaide — Oui je les ai vu. Il était 17 heures de l'après-midi à Colares. Il y avait un vaisseau à 50 mètres d'altitude, au-dessus de la rue principale de la ville. À l'intérieur de de ce vaisseau, il y avait un être, de 1 m 20 ou 1 m 30 de haut. Ceci s'est produit quand je conduisais pour aider un enfant ayant la clavicule cassée, j'allais l'immobiliser. Ils volaient tellement bas que je ne pouvais pas du tout réagir. Je pouvais voir que le métal brillant de l'OVNI qui n'était pas un objet plat comme un disque, mais beaucoup plus comme un cône ou un cylindre. Son trajet était elliptique. A 5 heures de l'après-midi vos yeux ne peuvent pas vous jouer des tours. Vous pouvez avoir des visions, avoir des hallucinations, mais, comme moi, beaucoup d'autres alors doivent en avoir.
Question — quelqu'un est-il mort après avoir été sucé par les lumières?
Wellaide — Deux personnes que j'ai emmenées à l'hôpital dans la capitale, Belém, sont décédées. Je les ai prises dans ma voiture. Et quand ils m'ont donné le certificat de décès, j'ai pu lire "raison inconnue." Les victimes avaient eu les brûlures, les petits trous, l'examen. Je veux dire, il est très facile de cacher des choses dans ce pays.
Quelques cas étonnants
L'Opération Soucoupe a rassemblé des rapports des gens qui ont vu les lumières. Des pêcheurs, des paysans, des gens simples et ordinaires frappés par les lumières ont été interviewés par le personnel de la force aérienne brésilienne entre novembre de 1977 et le début de 1978. Ce qu'ils ont déclaré est écrit dans un rapport appelé Opération Soucoupe. Le document de la force aérienne signé par le capitaine Uyrange Hollanda a été obtenu par le journal O Liberal. Plus de 230 pages du rapport principal de l'Opération Soucoupe ont été entièrement scannées et sont publiées sur le site web de UFO Magazine Brésil.
Cas 1 — Adelaïde Pereira Da Silva, 37 ans, illettré. Endroit: Colares, le 16 octobre 1977, 21:00. Elle a remarqué une lumière rougeâtre éclairant sa pièce et tout l'intérieur de sa maison. Toutes les portes et fenêtres étaient fermées, alors elle a ouvert une fenêtre et a vu un objet lumineux avec une lumière bleuâtre se déplaçant légèrement au-dessus des arbres (environ 30 mètres). Elle a senti une forte douleur dans les yeux et son corps est devenu engourdis. Elle a supporté ces symptômes pendant plusieurs jours.
Cas 2 — Maria Celeste Pereira Da Silva, 20 ans, instruite. Son observation d'OVNIS s'est produite le 18 octobre 1977 à 22:00. Au même moment que sa mère Adelaïde, elle a remarqué une lumière étrange à l'intérieur de sa maison, elle a senti une grande douleur partout son corps, comme si elle était fortement comprimée. Une sensation d'engourdissement a également commencé à monter dans son corps en venant à partir des pieds et une chaleur forte est apparue, s'étalant de l'épaule droite jusqu'à la tête. Elle pense qu'elle a été frappée au côté droit du corps par un faisceau de lumière rougeâtre.
Cas 3 — Maria Francisca Furtado, 30 ans, éducation d'école primaire seulement. Elle a raconté ce qui s'est produite la nuit du 18 octobre de 1977, environ 21:30. Elle vit près d'un village appelé Vila Nova do Ubintuba. Pendant que les attaques devenaient plus courantes, elle et son mari avaient l'habitude de venir chaque nuit à la maison de M. Miguel Arcângelo Soares afin de dormir ensemble à plusieurs familles. Ce jour, elle a été frappée par le faisceau lumineux et s'est retrouvée à demi paralysée. Elle a senti une sorte de décharge électrique. D'abord, ses pieds sont devenus chauds et un frisson a envahi son corps, des pieds jusqu'à la tête. Elle a senti que la partie droite de son corps est devenue engourdie et cette sensation a perdurée pendant une heure. Ensuite sont venus le mal de tête et la fièvre. Elle n'est pas sortie de la maison, elle n'a donc pas pu voir de "vaisseau." Les hommes et les femmes ont les mêmes symptômes après avoir vu l'objet.
Cas 4 — Un fermier du nom d'Abel Soares Trindade, 28 ans, était à l'intérieur de sa maison écoutant la radio quand quelque chose s'est produite. Il était environ neuf heures et demie dans la nuit du 14 septembre 1977, quand il a remarqué une lumière bleuâtre venant du toit. Il a été a demi paralysé et a eu une sensation comme si sa tête enflait. Il a lutté pour crier pour de l'aide, car il pouvait à peine parler. Pendant plusieurs jours après l'attaque, il a eu un mal de tête et une voix rauque. Son épouse, Amérique Silva Soares, 23 ans, a eu les mêmes symptômes.
Cas 5 — Un autre rapport est venu de Raimundo Nonato Barbosa, 48 ans. Il a dit que quand il revenait à sa maison par les bois, tandis qu'il a dépassé la maison d'un ami, il s'est soudainement senti comme si il avait perdu ses forces. Les chaussures qu'il portait à la main sont tombées à terre. Il les a prises et a continué la marche. Les chaussures sont encore tombées à terre. Quand il s'est abaissé pour les prendre à nouveau, il a pu voir un objet lumineux, avec une forme ronde comme une raie [le poisson], juste au-dessus de son épaule. Il avait environ 1,50 mètres et s'est déplacé à très basse altitude, à environ cinq ou dix mètres au-dessus de la terre. L'objet émettait un faisceau lumineux, comme une lampe flash, très fortement colorée en bleuâtre, vers lui. Très effrayé, Raimundo a rassemblé ses forces et couru à la maison de son ami, criant pour appeler à l'aide.
Au milieu de son chemin, en regardant en arrière, il a remarqué que l'objet montait dans le ciel, entre les arbres, laissant des étincelles lumineuses et multicolores derrière lui. Il s'est plaint de tremblements, du mal de tête et d'engourdissement sur la région du corps frappé par le faisceau lumineux. On n'a pas noté de symptômes de brûlure. Il a montré comment était l'objet en dessinant sur le sol. Il a représenté les étincelles lumineuses en utilisant trois lignes verticales avec environ 20 degrés entre elles. Il a tracé de petits cercles reliés à ces lignes et dit ils qu'ils étaient des lumières de plusieurs couleurs. Il n'a pas pu refaire le dessin sur du papier.
Cas 6 — Cinq pêcheurs ont dit aux militaires qu'ils avaient pu voir deux êtres à l'intérieur d'un vaisseau. Une rencontre de premier type avec cinq pêcheurs de Colares et un vaisseau avec des êtres extraterrestres à l'intérieur aurait eu lieu le 12 octobre, 1977, à 23:30. Dans le rapport, pendant l'Opération Soucoupe, le fermier Manoel Espírito Santo, 20 ans, éducation d'école primaire, a dit aux militaires ce qui s'est passé. Il a dit qu'il était devant sa maison avec ses amis, Julio, Paulo, Deca et Carlito, quand il a remarqué une lumière jaune se déplaçant dans la direction du lever du soleil. Il a ralenti, s'arrêtant presque sur eux, à environ 20 mètres de distance. Manoel a indiqué qu'il a pu voir que la lumière avait deux "pilotes." Ils ont semblé être humains. "L'homme" était sur le côté gauche et la "femme" sur le côté droit.
Tous les deux portaient quelque chose de semblable à des lunettes sur leurs yeux et avaient du matériel de transmission. L'homme du côté gauche a levé ses lunettes, comme pour les regarder, et ce moment même l'autre pilote, à l'aide d'un tube latéral, leur a envoyé un faisceau de lumière rouge. Au moment où il a été frappé par la lumière, Manoel a senti un choc fort, comme si c'était une décharge électrique. La sensation a commencé sur les pieds et est montée à sa tête. Alors il s'est retrouvé avec ses jambes et bras paralysés et a presque perdu conscience. Le vaisseau est parti lentement, accélérant. Manoel a pu se déplacer à nouveau, mais il a continué à se sentir engourdi pendant plusieurs minutes. Vu de loin, le vaisseau a ressemblé à une étoile coloré en rouge-jaune. Il a changé sa couleur du jaune lumineux au rouge et, quand il était plus étroit, il avait pu voir une lumière bleuâtre sur la partie supérieure frontale. Il était en forme de cylindre, comme un baril, et avait un petit tuyau frontal, de couleur rougeâtre, et un tuyau plus mince sur son flanc, 45 degrés d'écartement, d'où venait la lumière bleuâtre. Il avait environ 1,20 à 1,40 mètres, a semblé transparent sur la partie bleuâtre et avait une séparation entre les pilotes.
Source :
"Brazilian Physician Compelled To Lie About UFOs", article par Carlos Mendes, février 2005.
A suivre...