Post by Andrei Tchentchik on Jul 30, 2019 16:00:28 GMT 2
(#266).- Le projet Magnet et la civilisation sur Vénus.
Le projet Magnet et la civilisation sur Vénus.
18 Jan. 2017.
Il est scientifiquement possible pour des êtres sur un plan matériel de vivre dans une atmosphère sur une autre planète qui serait trop chaude ou fatale chimiquement aux humains de la Terre, en construisant des bases souterraines ou des cités avec air-conditionné et protégées des éléments de la surface. Il est aussi tout à fait réalisable de créer, sur la surface d’autres planètes, des dômes avec une climatisation générant une atmosphère artificielle identique à celle de la Terre.
Les scientifiques américains admettent qu’ils ont déjà la technologie et les plans pour créer ces bases sur Mars ou sur la Lune.
Par conséquent, des extraterrestres possédant la technologie supérieure pour créer les OVNI en forme de disque qui sont détaillés dans des douzaines de photos et documents dans les fichiers du Projet Bluebook que l’U.S. Air Force a publiés, peuvent logiquement posséder la science avancée pour créer de telles bases sur la surface de Vénus.
Preuves d’une civilisation sur la planète Vénus
Les physiciens William Plummer et John Strong ont établi que Vénus pouvait avoir de grandes zones ayant des températures supportables. Les régions proches des pôles vénusiens nord et sud seraient beaucoup plus froides que les zones examinées par les sondes spatiales. En outre, selon le professeur Alexander Lebedinsky d’Union Soviétique, dans les données dissimulées par le complexe du Pentagone des Etats-Unis, la température usuelle de surface d’une bonne partie de Vénus doit être environ de 43 degrés Celsius, bien que les mesures « radio-électriques » aient indiquées 700 degrés ou plus. Des observations similaires peuvent être faites sur les surfaces relativement froides des tubes de gaz qui sont utilisés dans les enseignes au néon, parce que l’équivalent radio-électrique de ces tubes est effectivement de plusieurs centaines de degrés !
Par ailleurs, des dauphins hautement intelligents, avec une capacité cérébrale plus grande que les humains, vivent sous l’eau dans un environnement qui nous tuerait rapidement, nous les humains, sans un équipement de plongée et un apport d’oxygène. Ces dauphins mourraient également en moins d’une demi-heure dans notre atmosphère, laquelle leur est mortelle ! Cela prouve que des créatures intelligentes, physiques, de chair et de sang, peuvent vivre dans un environnement qui nous tuerait et vice versa !
Donc, comment des soi-disant « experts » peuvent-ils affirmer que la vie intelligente ne peut absolument pas vivre dans un autre style d’atmosphère sur une planète différente ? De plus, à 2000 mètres sous l’océan, sous des pressions qui nous écraseraient instantanément sans un puissant équipement de plongée, des biologistes ont trouvé des crabes, des crevettes, des escargots, des vers vivants sous des températures de 275 degrés Celsius ainsi que des grands vers vivants dans des substances chimiques toxiques sortant des cheminées éruptives du fond de la mer. Ces créatures se nourrissent de produits chimiques mortels pour le vivant (Honolulu Advertiser newspaper, juin 1990) ! Cette découverte prouve que chaleur, pression et substances chimiques qui nous tueraient sont parfaitement vivables à certains types d’êtres physiques.
Donc pourquoi des créatures ne pourraient pas vivre sur la surface de Vénus, là où les officiels du programme spatial de la NASA qui ont trompé le public sur la vérité des vaisseaux interplanétaires, racontent au public que c’est trop chaud pour la vie physique avec une atmosphère trop dense et des gaz dangereux ?
Pourquoi de nombreuses sondes américaines en orbite transmettent des données que la Terre elle-même est trop chaude pour la vie humaine avec une atmosphère mortelle, une insuffisance d’oxygène, des éléments hostiles, et ensuite ils nous demandent de croire que leurs données des sondes vénusiennes sont précises ? Des températures de 1000 degrés ont été enregistrées dans l’ionosphère de la Terre à 300 kilomètres d’altitude. Se pourrait-il que la température officielle de la NASA lue sur Vénus soit domiciliée dans l’ionosphère vénusienne.
Les températures données au public à partir des sondes vénusiennes soviétiques et américaines sont en contradictions les unes des autres de plusieurs centaines de degrés, tout comme les températures données par différentes sondes américaines sur Vénus sont également contradictoires. Tout cela prouve que cette donnée est très sujette à caution. Si un satellite orbitant la Terre renvoie une mesure de température de l’Alaska aussi contradictoire que les données de Vénus, on pourrait dire qu’il y avait là-bas 100 degrés dans la glace !
On nous a dit que l’atmosphère de Vénus est au moins 100 fois plus dense que sur Terre, donc comment serait-il possible d’utiliser un parachute pour ralentir l’atterrissage d’un vaisseau sur Vénus, lorsque dans des pressions de cette importance, l’engin spatial descendrait lentement à la surface sans le besoin d’un parachute, comme des bateaux sombrant dans un océan ? Cette pression est comme d’essayer de parachuter le vaisseau à 600 mètres au fond de l’océan ! Pourquoi également la NASA contredit-elle ces affirmations en déclarant qu’un parachute ne fonctionnerait pas sur la lune Titan, parce que là-bas l’atmosphère (similaire à Vénus) est trop dense (juste comme Vénus). Cette information a été publié dans la presse le 12 décembre 1980 avec l’expert spatial James Murphy.
Lorsque les soviétiques ont posé leur sonde Vénéra sur la surface de Vénus, celle-ci a envoyé d’excellentes photographies montrant un panorama clair de collines et rochers, ressemblant beaucoup à nos déserts sur Terre alors qu’on s’attendait qu’une atmosphère de cette densité produise des photos d’une totale obscurité. Comment Vénus a-t-elle pu être cartographiée par les radars dans une telle densité d’atmosphère, l’équivalent de l’utilisation du radar pour cartographier le fond de nos océans à une profondeur qui est impossible ?
F I N .
Le projet Magnet et la civilisation sur Vénus.
18 Jan. 2017.
Il est scientifiquement possible pour des êtres sur un plan matériel de vivre dans une atmosphère sur une autre planète qui serait trop chaude ou fatale chimiquement aux humains de la Terre, en construisant des bases souterraines ou des cités avec air-conditionné et protégées des éléments de la surface. Il est aussi tout à fait réalisable de créer, sur la surface d’autres planètes, des dômes avec une climatisation générant une atmosphère artificielle identique à celle de la Terre.
Les scientifiques américains admettent qu’ils ont déjà la technologie et les plans pour créer ces bases sur Mars ou sur la Lune.
Par conséquent, des extraterrestres possédant la technologie supérieure pour créer les OVNI en forme de disque qui sont détaillés dans des douzaines de photos et documents dans les fichiers du Projet Bluebook que l’U.S. Air Force a publiés, peuvent logiquement posséder la science avancée pour créer de telles bases sur la surface de Vénus.
Preuves d’une civilisation sur la planète Vénus
Les physiciens William Plummer et John Strong ont établi que Vénus pouvait avoir de grandes zones ayant des températures supportables. Les régions proches des pôles vénusiens nord et sud seraient beaucoup plus froides que les zones examinées par les sondes spatiales. En outre, selon le professeur Alexander Lebedinsky d’Union Soviétique, dans les données dissimulées par le complexe du Pentagone des Etats-Unis, la température usuelle de surface d’une bonne partie de Vénus doit être environ de 43 degrés Celsius, bien que les mesures « radio-électriques » aient indiquées 700 degrés ou plus. Des observations similaires peuvent être faites sur les surfaces relativement froides des tubes de gaz qui sont utilisés dans les enseignes au néon, parce que l’équivalent radio-électrique de ces tubes est effectivement de plusieurs centaines de degrés !
Par ailleurs, des dauphins hautement intelligents, avec une capacité cérébrale plus grande que les humains, vivent sous l’eau dans un environnement qui nous tuerait rapidement, nous les humains, sans un équipement de plongée et un apport d’oxygène. Ces dauphins mourraient également en moins d’une demi-heure dans notre atmosphère, laquelle leur est mortelle ! Cela prouve que des créatures intelligentes, physiques, de chair et de sang, peuvent vivre dans un environnement qui nous tuerait et vice versa !
Donc, comment des soi-disant « experts » peuvent-ils affirmer que la vie intelligente ne peut absolument pas vivre dans un autre style d’atmosphère sur une planète différente ? De plus, à 2000 mètres sous l’océan, sous des pressions qui nous écraseraient instantanément sans un puissant équipement de plongée, des biologistes ont trouvé des crabes, des crevettes, des escargots, des vers vivants sous des températures de 275 degrés Celsius ainsi que des grands vers vivants dans des substances chimiques toxiques sortant des cheminées éruptives du fond de la mer. Ces créatures se nourrissent de produits chimiques mortels pour le vivant (Honolulu Advertiser newspaper, juin 1990) ! Cette découverte prouve que chaleur, pression et substances chimiques qui nous tueraient sont parfaitement vivables à certains types d’êtres physiques.
Donc pourquoi des créatures ne pourraient pas vivre sur la surface de Vénus, là où les officiels du programme spatial de la NASA qui ont trompé le public sur la vérité des vaisseaux interplanétaires, racontent au public que c’est trop chaud pour la vie physique avec une atmosphère trop dense et des gaz dangereux ?
Pourquoi de nombreuses sondes américaines en orbite transmettent des données que la Terre elle-même est trop chaude pour la vie humaine avec une atmosphère mortelle, une insuffisance d’oxygène, des éléments hostiles, et ensuite ils nous demandent de croire que leurs données des sondes vénusiennes sont précises ? Des températures de 1000 degrés ont été enregistrées dans l’ionosphère de la Terre à 300 kilomètres d’altitude. Se pourrait-il que la température officielle de la NASA lue sur Vénus soit domiciliée dans l’ionosphère vénusienne.
Les températures données au public à partir des sondes vénusiennes soviétiques et américaines sont en contradictions les unes des autres de plusieurs centaines de degrés, tout comme les températures données par différentes sondes américaines sur Vénus sont également contradictoires. Tout cela prouve que cette donnée est très sujette à caution. Si un satellite orbitant la Terre renvoie une mesure de température de l’Alaska aussi contradictoire que les données de Vénus, on pourrait dire qu’il y avait là-bas 100 degrés dans la glace !
On nous a dit que l’atmosphère de Vénus est au moins 100 fois plus dense que sur Terre, donc comment serait-il possible d’utiliser un parachute pour ralentir l’atterrissage d’un vaisseau sur Vénus, lorsque dans des pressions de cette importance, l’engin spatial descendrait lentement à la surface sans le besoin d’un parachute, comme des bateaux sombrant dans un océan ? Cette pression est comme d’essayer de parachuter le vaisseau à 600 mètres au fond de l’océan ! Pourquoi également la NASA contredit-elle ces affirmations en déclarant qu’un parachute ne fonctionnerait pas sur la lune Titan, parce que là-bas l’atmosphère (similaire à Vénus) est trop dense (juste comme Vénus). Cette information a été publié dans la presse le 12 décembre 1980 avec l’expert spatial James Murphy.
Lorsque les soviétiques ont posé leur sonde Vénéra sur la surface de Vénus, celle-ci a envoyé d’excellentes photographies montrant un panorama clair de collines et rochers, ressemblant beaucoup à nos déserts sur Terre alors qu’on s’attendait qu’une atmosphère de cette densité produise des photos d’une totale obscurité. Comment Vénus a-t-elle pu être cartographiée par les radars dans une telle densité d’atmosphère, l’équivalent de l’utilisation du radar pour cartographier le fond de nos océans à une profondeur qui est impossible ?
F I N .