Post by Andrei Tchentchik on Jan 31, 2020 17:50:37 GMT 2
(#367).- Bases humaines sur la Lune.
Bases humaines sur la Lune.
« LE TÉMOIGNAGE DE M. W. COOPER »
Au début de l’ère spatiale et à l’époque des expéditions lunaires, les modules habités envoyés vers la Lune étaient toujours escortés d’un astronef extranéen (entendez : d’origine extraterrestre). Le 20 Novembre 1990, une chaîne de télévision nationale a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission militaire. Ce fut la première et dernière reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA.
Les photographies officielles de la NASA révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d’immenses véhicules miniers en forme de T qui tracent sur la surface de la Lune des marques semblables à des cicatrices laissées sur la peau par des points de suture. On y voit aussi divers types d’astronefs, les uns absolument gigantesques, d’autres beaucoup plus petits.
Il s’agit d’une base américano-soviéto-aliénigène. Le prétendu programme spatial de la NASA baptisé Apollo ne fut en réalité qu’un leurre excessivement coûteux, destiné à détourner l’attention de l’humanité, et la solution 3 n’est pas de la science-fiction.
(En 1957 se tint un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l’an 2000, en raison de l’accroissement de la population et à cause de l’exploitation de l’environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne).
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d’étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées « Solutions 1, 2, et 3.
»Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d’explosions nucléaires, d’immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s’échapper dans l’espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l’environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c’était la moins susceptible de réussir, d’une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d’autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l’environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone tendrait cependant à étayer l’hypothèse que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d’activités serait appelée à survivre pour perpétuer l’espèce humaine.
Quant au reste de l’humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu’un petit nombre d’élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos.
(Note de Milton W. Cooper à propos de la solution 3 extraite de son livre : Je confirme que des contingents d’esclaves ont déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d’œuvre. La destination première est la Lune – de son nom de code Adam – et la seconde est Mars – de son nom de code Eve. J’ai en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est déjà aussi une réalité.). Les astronautes des missions Apollo ont appris tout cela à leur corps défendant. Le choc qu’ils en ont éprouvé n’a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite. Ils ont de plus été contraints de se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence : on leur a ordonné de taire ce qu’ils avaient vu, et on les a avertis qu’en cas de non respect de cet ordre, ils s’exposaient à la procédure dite «expéditive». L’un des astronautes a tout de même osé collaborer avec des producteurs TV britanniques, à l’occasion d’un documentaire diffusé dans le cadre d’un programme intitulé « Rapports scientifiques », et admis que la Solution 3 était bien une réalité.
Les quartiers généraux de la conspiration internationale qui vise à mettre en place la Solution 3 sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun ; ces 3 comités réunissent donc un total de 39 membres qui constituent le comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg.
Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravitationnel alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Vénus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune contrairement à ce que l’on pense généralement. Il y a même des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s’y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs en profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu’il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Ils peuvent se déplacer à sa surface et marcher munis simplement d’une bouteille d’oxygène.
J’ai en ma possession des photographies originales de la NASA à ce sujet. Quelques unes ont été publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon.
En 1969, une confrontation a opposé les Soviétiques et les Américains sur la base lunaire. Les Soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otages. Nous avons réussi restaurer l’ordre, mais au prix de 66 morts ! À la suite de cet incident, les Soviétiques ont suspendu leur participation au programme pendant une période de 2 ans. Il y a eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à travailler ensemble. »
Extrait traduit de « Behold a pale horse », écrit en 1989-1990 par Milton William Cooper et publié aux Editions Light Technology
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A.
Il avait déjà eu accès à différents documents classifiés « secret défense » aussi bien lorsqu’il était dans l’armée de l’air que dans la marine. Lorsqu’il commença à travailler dans l’unité administrative de la Flotte Pacifique, il obtint à nouveau l’autorisation d’accéder à différents documents top-secret, baptisée autorisation Q, ce qui lui permettait notamment de consulter tous les documents militaires relatifs à la sécurité nucléaire. Au cours de ses 18 années passées aux renseignements de la marine US, il eut progressivement connaissance d’informations qui l’amenèrent à écrire un livre à présent disponible en français. (Milton W. Cooper : le Gouvernement Secret – Éd. Louise Courteau).
secretebase.free.fr
www.elishean.fr/
Copyright les Hathor © Elishean/2009-2015/ Elishean mag.
F I N .
Bases humaines sur la Lune.
« LE TÉMOIGNAGE DE M. W. COOPER »
Au début de l’ère spatiale et à l’époque des expéditions lunaires, les modules habités envoyés vers la Lune étaient toujours escortés d’un astronef extranéen (entendez : d’origine extraterrestre). Le 20 Novembre 1990, une chaîne de télévision nationale a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission militaire. Ce fut la première et dernière reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA.
Les photographies officielles de la NASA révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d’immenses véhicules miniers en forme de T qui tracent sur la surface de la Lune des marques semblables à des cicatrices laissées sur la peau par des points de suture. On y voit aussi divers types d’astronefs, les uns absolument gigantesques, d’autres beaucoup plus petits.
Il s’agit d’une base américano-soviéto-aliénigène. Le prétendu programme spatial de la NASA baptisé Apollo ne fut en réalité qu’un leurre excessivement coûteux, destiné à détourner l’attention de l’humanité, et la solution 3 n’est pas de la science-fiction.
(En 1957 se tint un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l’an 2000, en raison de l’accroissement de la population et à cause de l’exploitation de l’environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne).
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d’étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées « Solutions 1, 2, et 3.
»Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d’explosions nucléaires, d’immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s’échapper dans l’espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l’environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c’était la moins susceptible de réussir, d’une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d’autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l’environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone tendrait cependant à étayer l’hypothèse que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d’activités serait appelée à survivre pour perpétuer l’espèce humaine.
Quant au reste de l’humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu’un petit nombre d’élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos.
(Note de Milton W. Cooper à propos de la solution 3 extraite de son livre : Je confirme que des contingents d’esclaves ont déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d’œuvre. La destination première est la Lune – de son nom de code Adam – et la seconde est Mars – de son nom de code Eve. J’ai en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est déjà aussi une réalité.). Les astronautes des missions Apollo ont appris tout cela à leur corps défendant. Le choc qu’ils en ont éprouvé n’a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite. Ils ont de plus été contraints de se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence : on leur a ordonné de taire ce qu’ils avaient vu, et on les a avertis qu’en cas de non respect de cet ordre, ils s’exposaient à la procédure dite «expéditive». L’un des astronautes a tout de même osé collaborer avec des producteurs TV britanniques, à l’occasion d’un documentaire diffusé dans le cadre d’un programme intitulé « Rapports scientifiques », et admis que la Solution 3 était bien une réalité.
Les quartiers généraux de la conspiration internationale qui vise à mettre en place la Solution 3 sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun ; ces 3 comités réunissent donc un total de 39 membres qui constituent le comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg.
Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravitationnel alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Vénus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune contrairement à ce que l’on pense généralement. Il y a même des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s’y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs en profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu’il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Ils peuvent se déplacer à sa surface et marcher munis simplement d’une bouteille d’oxygène.
J’ai en ma possession des photographies originales de la NASA à ce sujet. Quelques unes ont été publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon.
En 1969, une confrontation a opposé les Soviétiques et les Américains sur la base lunaire. Les Soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otages. Nous avons réussi restaurer l’ordre, mais au prix de 66 morts ! À la suite de cet incident, les Soviétiques ont suspendu leur participation au programme pendant une période de 2 ans. Il y a eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à travailler ensemble. »
Extrait traduit de « Behold a pale horse », écrit en 1989-1990 par Milton William Cooper et publié aux Editions Light Technology
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A.
Il avait déjà eu accès à différents documents classifiés « secret défense » aussi bien lorsqu’il était dans l’armée de l’air que dans la marine. Lorsqu’il commença à travailler dans l’unité administrative de la Flotte Pacifique, il obtint à nouveau l’autorisation d’accéder à différents documents top-secret, baptisée autorisation Q, ce qui lui permettait notamment de consulter tous les documents militaires relatifs à la sécurité nucléaire. Au cours de ses 18 années passées aux renseignements de la marine US, il eut progressivement connaissance d’informations qui l’amenèrent à écrire un livre à présent disponible en français. (Milton W. Cooper : le Gouvernement Secret – Éd. Louise Courteau).
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